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À 40 ans et après 16 ans avec son mari, elle réalise enfin un de ses plus gros fantasmes

Publié par Elodie Gros-Désir le 01 Oct 2023 à 10:30
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À 40 ans, Esther décide de réaliser un fantasme. Curieuse de découvrir les sensations que procure la sodomie, elle en parle à son mari. Elle raconte son expérience à Yahoo.

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Elle se lance dans l’inconnu

Nombreux sont les fantasmes qu’on n’ose pas assouvir en couple. Pourtant, ce dernier est un cocon souvent rassurant au sein duquel on devrait pouvoir parler de tout.

C’est en tout cas ce que pense Esther, qui, à 40 ans, refuse de s’enfermer dans des habitudes sexuelles. Bien qu’épanouie à ce niveau-là, elle a ressenti l’envie soudaine de tester autre chose. Et, au lieu de taire ses envies et de les garder pour elle, elle a préféré les partager avec son époux.

Une initiative payante, puisque celui-ci s’est montré très ouvert. Il a accepté de se lancer dans la sodomie avec Esther, récoltant le plus d’informations possibles avant de se lancer. « Il s’y est mis tout de suite. Je l’ai vu collecter le plus d’informations possibles pour que je sois contente. Ça nous a fait beaucoup rire » , raconte celle qui est en couple depuis 16 ans maintenant.

Elle réalise un fantasme

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« Ça été quelque chose de magique »

Le moment venu, malgré une certaine appréhension, Esther se laisse aller. De son côté, son mari se montre doux et prévenant, le combo idéal pour rendre l’instant magique.

Et, alors qu’elle ne s’y attendait pas, Esther vit ce qui s’apparente à un véritable feu d’artifices. « Ça été quelque chose de magique. J’ai eu chaud, et j’ai eu l’impression que tout mon corps et mes sensations tournaient autour d’une seule zone de mon corps » , raconte-t-elle.

Depuis, elle et son mari s’adonnent régulièrement à cette nouvelle pratique. « Je ne peux pas dire qu’on le fait à chaque fois parce que ce n’est pas vrai. Mais c’est environ une fois par mois » , explique-t-elle.

De cette expérience, Esther tire une conclusion : il ne faut pas hésiter à faire part de ses fantasmes à la personne avec laquelle on est, ou avec laquelle on vit. Cela permet non seulement de (peut-être) les assouvir, mais également de libérer la parole autour du sexe.

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