Une émission de télévision demande aux participants de filmer leurs ébats sexuels pour les analyser
Suivez nous sur Google News
Une nouvelle série télévisée fait son arrivée sous le nom de « Good Sexe ». Cette émission est présentée par une sexologue qui demande à des couples de filmer leurs relations sexuelles.
Dans des couples, l’alchimie sexuelle ne prend pas toujours malgré de nombreuses tentatives. Pour éviter que ces personnes perdent espoir, certains décident de témoigner dans la nouvelle émission de télé-réalité américaine « Good Sex ». Présentée par une sexologue, le premier épisode de l’émission est sorti ce vendredi 19 août sur Discovery+.
Pour essayer de régler les problèmes conjugaux au lit, « Good Sex » demande aux candidats de partager le plus intime. En effet, les participants doivent placer des caméras dans leur chambre pour filmer leurs relations sexuelles sous tous les angles. Contrairement à la sexologue de l’émission, Caitlin V. Neal, les téléspectateurs auront des images floutées de ce moment.
« Après une dizaine d’années de coaching, j’ai découvert que ce que les clients me disent qu’il se passe dans la chambre à coucher ne correspond pas à la réalité », justifie la présentatrice et sexologue Caitlin V. Neal.
LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER Voir cette publication sur Instagram
L’émission se veut pédagogique et compatissante
Au-delà des réactions à des ébats sexuels, le but est de parler des difficultés que peut rencontrer un couple en général. Que ça soit des problèmes à atteindre l’orgasme, une baisse de libido ou des problèmes d’érection, Caitlin V. Neal ne laisse rien au hasard.
Dans la bande-annonce, la sexologue et présentatrice dévoile que cette émission va aussi au-delà du sexe. « Good Sex » organisera des ateliers pédagogiques dans le but d’aider les couples à résoudre leurs problèmes dans l’intimité : psychologie, coaching, massage…
« Je veux que les gens aient le sentiment que ce qu’ils vivent dans leur vie intime est normal et qu’il y a de l’espoir. Il est normal de chercher de l’aide » avance Caitlin V. Neal dans le New York Post.
