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Ce ventilateur chauffage type Dyson à ne pas louper chez Lidl

Publié par Killian Ravon le 25 Oct 2025 à 6:06

Le Dyson TP09 Purifier Cool Formaldehyde promet un air plus sain sans renoncer au confort d’un souffle maîtrisé. Grâce à un HEPA H13 couplé à un filtre catalytique qui détruit en continu le formaldéhyde. Ce modèle capture jusqu’à 99,95 % des particules ultrafines tout en ventilant la pièce.

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Purificateur d’air tour posé sur une table dans un salon lumineux, à côté d’un cadre affichant le logo Lidl bien visible.
Dans un salon contemporain, un purificateur d’air trône sur la table basse tandis qu’un visuel au logo Lidl signale une opération commerciale possible.

Pilotable à distance et ajusté par des capteurs en temps réel, il s’insère dans la vie quotidienne. De la chambre au salon. Avec une diffusion homogène signée Air Multiplier.

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Un purificateur-ventilateur qui pense pour vous

Dans les intérieurs actuels, l’air se charge d’éléments invisibles qui indisposent sans qu’on s’en aperçoive. Le TP09 s’attaque à cette réalité avec une promesse claire : purifier et ventiler en simultané. Son filtre HEPA H13 piège les particules ultrafines, des poussières aux allergènes, tout en limitant l’exposition à certains gaz domestiques. En parallèle, le filtre catalytique cible un ennemi bien particulier. Le formaldéhyde, composé volatile courant dans les revêtements, colles ou meubles neufs. L’intérêt de cette double action est tangible. L’appareil ne se contente pas de retenir, il neutralise en continu ce polluant, évitant l’effet rebond.

Au quotidien, la différence vient surtout de l’automatisation. Le TP09 ne réclame pas d’ajustements permanents. Ses capteurs analysent la qualité de l’air et modulent la puissance en temps réel. Sur l’écran, on visualise l’évolution des polluants ; sur l’appli MyDyson, on suit et on pilote sans se déplacer. Cette logique évite de forcer la main à l’utilisateur. On laisse l’appareil travailler, et l’ambiance de la pièce reste stable, de jour comme de nuit.

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Purificateur d’air compact blueair posé au sol dans un salon, en fonctionnement, illustrant un appareil moderne dédié à l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.
« Purificateur d’air Blueair Blue Pure 411 Auto dans un intérieur. » — Crédit : Ajay Suresh / CC BY 2.0, via Wikimedia Commons.

Une diffusion homogène pensée pour les pièces de vie

Un purificateur efficace doit brasser l’air correctement. C’est là que la technologie Air Multiplier fait la différence. Elle projette un flux régulier qui se répartit dans l’ensemble de la pièce. Plutôt que de créer un courant localisé autour de l’appareil. Cette diffusion homogène évite les « zones mortes » et garantit que l’air filtré atteint les points de passage, les espaces de travail. Et les coins souvent délaissés. En pratique, on peut placer l’appareil au fond du salon et ressentir le bénéfice jusqu’au canapé. Ou le positionner dans un bureau pour profiter d’un flux constant sans souffle agressif sur le visage.

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En été, le mode ventilation apporte un confort réel tout en maintenant la purification de l’air. En hiver, on garde l’habitude de le faire fonctionner à faible débit, simplement pour assainir. Ce n’est pas un chauffage, mais c’est bel et bien un appareil quatre saisons, pensé pour tourner toute l’année sans perturber l’organisation de la maison.

Large présentoir d’épuration d’air en magasin au Japon, montrant plusieurs purificateurs de marques différentes et leurs fonctions de filtration et humidification.
« Sélection de purificateurs d’air de différentes marques dans un magasin à Tokyo. » — Crédit : Tokyo538 / CC0 (domaine public), via Wikimedia Commons.

Un contrôle à distance qui s’adapte à vos habitudes

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Le confort d’usage est un point clé. Avec le TP09, trois options : télécommande, application mobile et contrôle vocal. La télécommande, compacte, suffit pour la plupart des besoins : on ajuste l’intensité, on active le mode automatique, on programme une mise en veille pour la nuit. L’application MyDyson ajoute la lecture en direct de la qualité de l’air et l’historique, utile pour comprendre les pics (cuisine, nettoyage, aération, visite !). Enfin, l’assistant vocal permet d’intégrer l’appareil à une routine (« lancer la purification », « réduire la vitesse ») sans se lever.

L’autre avantage, c’est la cohérence : quel que soit l’outil de commande, les réglages restent synchronisés. On évite ainsi les doublons ou les surprises. Et si l’on déplace l’appareil d’une chambre à un salon, l’algorithme s’adapte à l’espace et aux variations de polluants en quelques minutes, sans intervention manuelle.

Gros plan sur un filtre HEPA installé en laboratoire, montrant la grille et le média filtrant capables de retenir des particules fines en circulation.
« Module de filtration HEPA en environnement de labo au CSIRO. » — Crédit : CSIRO / CC BY 3.0, via Wikimedia Commons.
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Des performances pensées pour l’invisible

On parle souvent du taux de rétention, mais on oublie l’ultra-fin. La mention 99,95 % rappelle l’intérêt du HEPA H13 : une efficacité élevée sur de très petites particules. Le TP09 vise ainsi ce qu’on ne voit pas : poussières en suspension, pollens, micro-débris, mais aussi certains gaz présents ponctuellement après une cuisson, un bricolage ou l’ouverture d’un produit ménager. Le formaldéhyde, ciblé par le filtre catalytique, illustre cet enjeu : c’est un composant volatile, persistant, libéré lentement par certains matériaux. Sa destruction continue évite d’accumuler des molécules piégées dans un filtre saturé.

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Ce qui rend l’appareil convaincant, c’est la cohésion entre capteurs, filtration et diffusion. Les capteurs détectent, la filtration retient et neutralise, la diffusion répartit. Ce trio limite les compromis : on n’a pas à choisir entre un air plus sain et un confort de souffle agréable. Et pour ceux qui réagissent aux fluctuations (nez qui pique, gorge sèche), la stabilité obtenue avec un mode automatique bien réglé vaut souvent plus qu’un grand nettoyage ponctuel.

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Un format discret, pour un usage naturel au quotidien

Le design du TP09 mise sur la discrétion : silhouette élancée, socle stable, tête ouverte caractéristique des ventilateurs sans pales. Dans une pièce, il n’occupe pas visuellement l’espace ; on le placera près d’un mur ou à côté d’une bibliothèque sans rompre l’harmonie du mobilier. L’entretien se résume à un remplacement de filtre quand c’est indiqué par l’appareil ; le reste du temps, on le dépoussière comme n’importe quel équipement domestique.

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Côté bruit, le flux généré par la technologie Air Multiplier reste étudié pour un confort sonore adapté à une chambre ou un bureau. On peut travailler à proximité en conservant une ambiance calme, lire sur le canapé en gardant le souffle régulier en fond, ou laisser tourner la nuit en mode atténué. Ce détail, que peu de gens connaissent, change la perception d’un purificateur : on l’oublie… jusqu’à ce qu’on coupe l’appareil et que l’on perçoive la différence d’air ambiant.

Vue rapprochée d’un filtre HEPA, soulignant la structure du média filtrant utilisée pour piéger les particules et améliorer la qualité de l’air.
« HEPA : détail du média filtrant. » — Crédit : CSIRO / CC BY 3.0, via Wikimedia Commons.
Purificateur d’air professionnel installé dans un cabinet dentaire moderne, destiné à réduire les particules et améliorer l’hygiène de l’air en continu.
« Appareil d’épuration d’air en milieu dentaire. » — Crédit : Ri_Ya / Pixabay
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Ce que l’on retient vraiment du TP09

Au final, le TP09 coche la case du combo que recherchent de plus en plus d’utilisateurs : purification de l’air efficace, ventilation homogène, pilotage simple, le tout dans un objet facile à vivre. Il s’adresse à ceux qui veulent automatiser l’assainissement de leur intérieur sans se transformer en techniciens de la qualité de l’air. On le pose, on le connecte, on laisse faire. Et c’est là, précisément, sa force.

Ce modèle ne se contente pas de filtrer : grâce à son filtre catalytique, il détruit en continu le formaldéhyde, un polluant discret mais bel et bien présent dans nos maisons — une nuance qui fait toute la différence sur la durée.

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