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Un médecin légiste surnommé le « Docteur mort » dévoile les « pires façons de mourir »

Publié par Andri R le 23 Oct 2025 à 17:18

Si vous pensez que le métier de médecin se résume à des ordonnances, détrompez-vous. Roger Byard, lui, explore les coulisses les plus sombres de la vie… et de la mort. Son parcours mêle science, justice et anecdotes à faire frémir. Mais toujours avec un objectif : comprendre et transmettre. Car même un coq peut devenir un tueur. Et ce médecin-là ne manque pas d’humour pour nous le rappeler !

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Médecin des morts : une carrière entre science et horreur

Roger Byard est un médecin légiste australien auteur de récits aussi fascinants que macabres. Surnommé « Docteur Mort », il a étudié des centaines de morts étranges. Son travail mêle science, enquête et parfois humour noir. Et il partage ses expériences non pas pour choquer, mais pour sensibiliser.

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Parmi les cas les plus insolites, Roger évoque des animaux apparemment inoffensifs, mais qui ont causé la mort de leurs propriétaires. Un maquereau de 25 kilos a percuté son maître, causant son décès. Une vieille dame a subi les attaques incessantes de son coq, ce qui a conduit à sa mort. Ces accidents paraissent absurdes, mais ils sont bien réels !

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Le médecin insiste bien sur l’importance de comprendre ces risques. D’ailleurs, les varices sont souvent au cœur de ces drames inattendus. Une simple griffure peut en fait provoquer une hémorragie fatale. Roger a vu des décès causés par des blessures mineures. Il conseille de réagir vite en cas de saignement.

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Allonger la personne, comprimer la plaie et surélever la jambe peut sauver une vie. Pour Roger, ces récits ont une mission : informer et prévenir. Il veut que chacun comprenne les dangers cachés. Car même un animal familier peut devenir une menace.

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Roger se confie sur les crimes de Snowtown !

Roger Byard n’a pas eu de période d’adaptation tranquille dans son métier. Dès sa première semaine, il doit se rendre sur une scène de crime glaçante. Il a découvert huit corps démembrés dans des barils, à Snowtown, en Australie. Ce sera l’un des cas les plus célèbres du pays et un tournant dans la carrière du médecin légiste !

Les meurtres de Snowtown ont choqué toute l’Australie dans les années 90. Trois hommes ont tué plusieurs victimes, souvent sans preuve réelle. Ils se disaient justiciers, mais ils choisissaient leurs cibles de manière arbitraire. Leurs péchés ? Leur orientation sexuelle ou leur apparence physique. Une violence froide, organisée, et profondément injuste.

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Roger se souvient de détails marquants de cette affaire. Un collègue remarque des pieds qui dépassent d’un baril. L’équipe découvre alors l’ampleur de l’horreur ! Le médecin doit examiner, documenter, et témoigner avec précision.

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Médecin légiste : un travail traumatisant

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Être médecin légiste, ce n’est pas seulement analyser des corps. C’est aussi affronter des scènes insoutenables ! Roger Byard parle de corps brûlés, d’enfants morts de faim, de mutilations. Ces images restent gravées dans son esprit. Pourtant, peu de gens évoquent le traumatisme que cela engendre !

Roger souligne le silence autour du stress post-traumatique des médecins légistes. Ils doivent rester calmes, précis, professionnels. Même quand l’horreur est difficile à décrire. En salle d’audience, leur parole est parfois remise en question. Ce qui ajoute une pression émotionnelle énorme !

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Au fil des années, Roger a compris que toutes les réponses ne sont pas accessibles. Certains décès restent mystérieux, sans explication claire. Il doit alors annoncer aux familles qu’il ne sait pas. Et leur rappeler qu’elles ne sont pas responsables. Ce moment est souvent le plus difficile, selon le médecin.

Malgré tout, Roger voit son rôle comme profondément humain. Il est le dernier à avoir pris soin du défunt. Et les proches veulent souvent le rencontrer pour comprendre, pour faire le lien entre la vie et la mort.

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