Chasseurs d’appart’ : une candidate dézingue la demande en mariage de son conjoint (Vidéo)
Dans Chasseurs d’appart’, c’est bien Stéphane Plaza qui fait le show habituellement. Toutefois, ce lundi 17 août, c’est Christina qui a volé la vedette au présentateur. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, la candidate raconte la demande en mariage de son époux et ça vaut le détour !
Une candidate dézingue la demande en mariage de son conjoint
M6 propose une grille de programmation bien remplie. Entre les émissions de relooking, ou encore Les Reines du Shopping, les téléspectateurs sont conquis. Et d’autant plus par l’émission Chasseurs d’appart’.
Animé par Stéphane Plaza, l’émission met en compétition trois agents immobiliers pour dénicher LE bien rêvé par des particuliers. Cette compétition est rythmée par des taquineries, souvent lancées par Stéphane Plaza.
Toutefois, l’animateur n’est pas le seul à aimer charrier. Cette fois-ci, c’est une candidate qui dézingue la demande en mariage de son époux lors de leur présentation aux agents.
« Mais… ce n’est pas un sac à main »
Dans cet épisode de Chasseurs d’appart’, Kevin et Christina ont fait appel aux agents immobiliers lyonnais. Entre les deux tourtereaux, tout est allé très vite. Et malgré des débuts difficiles : « Je travaillais en boîte de nuit, Christina était une cliente. Et… je crois qu’on ne s’aimait pas » indique d’abord Kevin. S’en suit la réaction de la candidate : « Non, parce qu’il se la pétait. »
Heureusement, les deux amants ont appris à se connaître et à s’apprécier. En effet, les choses se sont accélérées, car l’année suivante, Kevin faisait sa demande en mariage. Une demande à laquelle ne s’attendait pas la jeune femme qui s’attendait à un autre cadeau : « Je pensais qu’il allait m’offrir un sac à main ou une paire de chaussures. »
Alors, elle explique comment s’est déroulé la demande, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. Et surtout, la réaction de la candidate vaut le détour. Au lieu de réagir face à la bague, elle s’est indignée : « Mais… ce n’est pas un sac à main! »