La Corée du Nord vient de lancer un nouveau missile… l’OTAN se réunit d’urgence !
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Ce samedi 5 mars, Pyongyang a de nouveau lancé un « missile balistique », seulement quelques jours avant la présidentielle en Corée du Sud…
Face à cet événement, l’OTAN a décidé de se réussir de toute urgence ce lundi 7 mars.
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Pyongyang refuse toutes offres de dialogue
Ce samedi 5 mars, la Corée du Nord a tiré un projectile, présenté par Séoul comme étant un « missile balistique ». Le pays poursuit ainsi sa série d’essais d’armement, quatre petits jours avant la présidentielle en Corée du Sud. Le dirigeant a déclaré avoir procédé à sept essais d’armes en janvier. Il affirme également avoir testé son missile le plus puissant depuis 2017.
Face aux Jeux olympiques de Pékin, les tirs avaient été suspendus par Pyongyang. Dès le 28 février, la Corée du Nord a déclaré avoir réalisé un essai de grande importance d’un satellite de reconnaissance. Séoul, de son côté, préfère parler d’un missile balistique.
Même s’il a dû faire face à de multiples sanctions internationales, Pyongyang reste ferme. Depuis 2019, il rejette toutes les offres de dialogue. Pire encore, depuis cette date, le pays a redoublé d’efforts afin de moderniser son armée. Il a même menacé en janvier de rompre le moratoire qu’il s’était autoimposé au sujet des essais nucléaires, ainsi qu’en ce qui concerne les missiles balistiques intercontinentaux.
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Nouveau missile lancé par la Corée du Nord… L’OTAN se réunit d’urgence !
Ce samedi 6 mars, l’armée sud-coréenne a donc affirmé avoir détecté « un missile balistique ». Celui-ci aurait été lancé vers 8 h 48 en direction de l’est depuis Sunan. Le Conseil national de sécurité sud-coréen a aussitôt fermement condamné les « tirs répétés sans précédent » de la part de la Corée du Nord.
Ces derniers vont d’ailleurs complétement à l’encontre de la paix dans la péninsule coréenne et internationale, comme le spécifie la « Maison Bleue », siège de la présidence, dans un récent communiqué.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a quant à lui annoncé qu’il allait se réunir ce lundi en urgence à huis clos et de manière informelle au sujet de la Corée du Nord. Cette réunion a été préparée notamment à la demande de Washington, suite à un essai supposé de missile nord-coréen. Les États-Unis, ainsi que les membres du Conseil de sécurité Européen sont à l’origine de la convocation de cette session.
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