« On a du mal » : les confidences d’Isabelle Balkany sur ses fins de mois difficiles
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Interrogée par Jordan De Luxe, Isabelle Balkany a confié peiner à boucler les fins de mois. Une confidence qui laisse son interlocuteur perplexe, d’autant que la femme de l’ancien maire de Levallois-Perret a sous-entendu percevoir une somme confortable tous les mois.
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Isabelle Balkany scandalisée face à l’inflation
Les fins de mois sont parfois difficiles. Une réalité à laquelle beaucoup de Français font face, même ceux qui vivent confortablement. Car c’est un fait, le pouvoir d’achat ne cesse de diminuer et les factures d’augmenter. Une situation qui devient de plus en plus compliquée à surmonter pour les ménages.
Y compris pour celui d’Isabelle Balkany. Invitée sur le plateau de Chez Jordan, cette dernière s’est attardée plusieurs minutes sur les prix exorbitants et les fins de mois difficiles. Un sujet qui a étonné son interlocuteur qui n’a d’ailleurs pas manqué de la questionner avec insistance. À combien lui revient son train de vie ? Lui faut-il plus de 4 000 euros pour vivre confortablement ?
Des questions auxquelles elle a répondu à sa guise, manifestant de temps à autre une certaine impatience vis-à-vis de Jordan De Luxe.
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« On a du mal ! Comme tout le monde ! »
« J’en sais rien, c’est pas le problème ! On vit dans une maison, qu’il faut entretenir… On est comme tous les Français », commence Isabelle Balkany, après avoir été questionnée sur la somme qu’elle perçoit chaque mois. « L’eau a augmenté, l’électricité augmente, le fuel augmente, tout augmente. On a du mal et on tire la langue comme tout le monde ».
Une dernière confidence qui n’a pas échappé à son interlocuteur. « Vous avez du mal aujourd’hui sincèrement », la questionne-t-il. « Bien sûr, on a du mal ! Comme tout le monde ! », s’agace-t-elle.
Elle ajoute : « Les gens n’ont même pas besoin d’avoir des dettes pour avoir du mal. Ils sont comme nous. Il suffit de voir la note d’électricité qui augmente… ». Et quand Jordan Deluxe insiste sur le fait qu’elle a de bons revenus, elle lui lance : « Oui, mais ça ne suffit pas ! Si on était dans un studio oui, mais pas dans une grande maison […] Je ne fais pas d’additions, je constate simplement qu’aujourd’hui […] le pouvoir d’achat des Français a baissé considérablement. Le nôtre aussi. […] Tout le monde tire la langue. Et je trouve ça dramatique, je trouve ça honteux pour la France« .
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