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Philippe Etchebest bientôt engagé en politique ? Cette déclaration qui sème le doute

Publié par Elodie Gros-Désir le 05 Mar 2024 à 19:35

Après la gastronomie, Philippe Etchebest pourrait bien se prendre de passion pour la politique. Connu pour ses prises de paroles durant la crise sanitaire, le chef étoilé a défendu sa profession bec et ongles. Un engagement qui n’a pas échappé à Télé 7 jours.

Le chef Etchebest en pleine ascension

Cauchemar en cuisine l’a porté aux nues. Et malgré ses interventions musclées et son caractère un peu brut de décoffrage, Philippe Etchebest s’est rapidement attiré la sympathie des téléspectateurs. Après tout, son seul but était de permettre aux petits restaurateurs de survivre en période de crise.

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Le chef s’est ensuite illustré dans l’émission Top chef avant de s’engager dans Un chef au bout du monde. Autant de projets qui font de lui un homme occupé, mais surtout très médiatisé. Ce qui lui permet de bénéficier d’une tribune sur les réseaux sociaux. Tribune dont il s’est servi volontiers durant la crise sanitaire.

Et ses prises de positions interpellent. Le chef étoilé serait-il prêt à s’engager dans une carrière politique ?

Philippe Etchebest bientôt en politique ?

Une voix qui porte

Face aux questions de Télé 7 jours, Philippe Etchebest laisse entendre que la gastronomie reste sa préoccupation première. « Non, je ne pense pas. Même si dans la vie, il ne faut jamais dire jamais ». D’ailleurs, il doute d’être de si bon conseil et affirme que ses méthodes risqueraient de ne pas convenir à tout le monde.

En attendant, le chef surfe sur la vague du succès. Et après plusieurs années de travail acharné, il regarde son parcours avec fierté.

Un parcours semé d’embuches. Notamment au moment de la crise sanitaire. À cause du covid-19, Philippe Etchebest s’était vu dans l’obligation de fermer son établissement, Le Quatrième mur. Une contrainte qu’il avait mal vécue, ce qui l’avait mené à livrer le fond de sa pensée sur les mesures gouvernementales.

Farouchement opposé au vaccin, il avait fini par céder, de guerre lasse. Il avait reconnu que ce dernier était « le seul moyen de sortir de la crise ».