Baptisée « reine de la sculpture », elle empoche jusqu’à 11 000 euros par mois en remodelant des fessiers !
Profitant de la popularité de la médecine esthétique, Marie McCrory s’est bâti un solide empire et engrange plus de 11 000 euros par mois.
La mine d’or de Marie McCrory
Sa popularité explose. Il faut dire que les personnalités publiques, qui paraissent figées dans le temps, en font une promotion plus que convaincante. À l’image de la famille Kardashian dont les membres semblent s’abreuver à la fontaine de jouvence, les femmes sont de plus en plus nombreuses à se laisser tenter par la médecine esthétique. Cible principale des instituts spécialisés, elles sont suivies de près par les hommes.
Flairant le bon filon, Marie McCrory, une Écossaise de 46 ans, se renseigne sur le secteur.
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Convaincue par les retours des clients et des professionnels, elle lance son entreprise en 2024. Une décision qu’elle ne regrette en rien, puisqu’elle fait jusqu’à 10 000 £ de bénéfices par mois. Soit plus de 11 000 euros. De quoi amener les plus cupides à s’intéresser de près au business de la médecine esthétique…
Des clientes conquises et un chiffre d’affaires en hausse
Baptisée « reine de la sculpture » par ses nombreuses clientes, Marie McCrory jouit d’une excellente réputation. Si bien qu’elle propose des formations à celles qui voudraient se lancer dans ce que les médias ont baptisé les « tweakments ». Des procédures cosmétiques non chirurgicales, dont les résultats rappellent à s’y méprendre ceux que l’on obtient en passant sur le billard.
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Spécialisée en sculpture corporelle, Marie McCrory détient le secret du BBL non chirurgical. « Une fois que j’ai découvert le body sculpting, j’ai été accro. J’ai adoré le fait qu’il offre des résultats réels et visibles et qu’il aide les clients à se sentir bien dans leur peau sans chirurgie« , confie la papesse de la sculpture. Elle ajoute : « J’aime pouvoir aider les gens à se sentir plus confiants et épanouis, de manière sûre, accessible et abordable. Il s’agit avant tout de valoriser ce que l’on possède déjà ».
Aujourd’hui, Marie roule sur l’or et ne s’en cache pas. « Je peux gagner environ 6 000 à 10 000 £ par mois entre les traitements et la formation à l’académie », confie-t-elle au Sun. Pour cause, elle a travaillé dur et récolte le fruit de son labeur. Toutefois, la médecine esthétique n’est pas une technique miraculeuse. Concernant le body scultping, la quadragénaire précise : « Je ne qualifierais pas ces traitements de paresseux. Ils fonctionnent mieux si le client est en train de perdre du poids ou s’il prend soin de lui en matière d’alimentation et de pratique d’exercice ».
