Dire « non » sans vexer ? Voici l’astuce qui marche à chaque fois !
Votre patron et votre entourage vous en demandent beaucoup, et vous n’arrivez pas à dire non ? C’est normal, la négation peut toujours vexer vos interlocuteurs. Cependant, il existe une technique pour refuser une demande, notamment de votre supérieur, sans vexer votre interlocuteur. C’est simple, efficace, et ça vous apprendra à vous affirmer.
Dire non pour ne plus se faire marcher dessus ? L’astuce qui fonctionne
Si la nouvelle génération ose un peu plus refuser des heures supplémentaires non payées, un plat au restaurant servi trop froid ou de se faire marcher dessus par la hiérarchie, savoir dire non n’est pas donné à tout le monde. Manque de confiance ou d’assurance, la négation apporte souvent un sentiment désagréable à votre interlocuteur. Alors pour ne pas vexer, vous préférez ronger votre frein, et accepter la requête.
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Mais avec le temps, les gens prennent l’habitude de vous marcher dessus. Du coup, vous avez l’impression de ne pas être écouté, et il est probablement trop tard pour refuser une requête ou un ordre. Eh bien vous vous trompez. Savoir dire non, c’est aussi montrer vos valeurs, votre engagement et vos limites. Selon Maïté Tranzer, psychologue en collaboration avec le Journal des Femmes, il existe une astuce simple pour dire non sans vexer la personne en face.
Mais pour commencer, il est important de définir les situations dans lesquelles vous n’êtes plus vous-même, où vos limites sont dépassées. Que ce soit au travail, en famille, en couple, en amitié ou même au restaurant, le « non » ne doit pas être une épreuve pour vous. Et si vous pensez qu‘un « non » fera de vous une personne détestable, enlevez-vous cette idée de la tête…
Ne pas le dire frontalement, mais exprimer son refus !
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Dire non frontalement est une épreuve difficile pour les personnes qui n’osent pas. Alors Maïté Tranzer propose une autre option. Exprimer son refus, mais avec un peu plus de délicatesse. L’objectif est de montrer à votre interlocuteur que vous êtes à l’écoute de ses recommandations ou ordre, mais que vous les refusez.
« Je (te) comprends, mais je préfère ne pas m’engager là-dessus » conseille alors de dire la psychologue. Il faut évidemment adapter la phrase à votre interlocuteur et à sa demande. Votre moitié veut absolument sortir et vous ne voulez pas : « Je comprends que tu veux sortir, mais ce n’est pas mon souhait » pourrait lui faire comprendre votre refus.
C’est une astuce simple, mais qui marche tout le temps. Et si la personne est insistante, il faudra prendre sur vous pour vous tenir à votre refus. Si la personne tient à vous, elle comprend que votre « non » n’est pas exprimé dans le but de la froisser. Alors, on s’affirme, et on a plus peur de dire non à ses proches et à ses collègues.