Enfant de 7 ans entre la vie et la mort : son baby-sitter de 29 ans mis en cause
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Le vendredi 3 novembre, des habitants de Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne, ont découvert un enfant de 7 ans entre deux voitures.
Le jeune garçon avait la tête dans un sac poubelle et présentait de nombreuses blessures. Alors que de nouvelles perquisitions ont eu lieu dans la disparition d’Emile, le baby-sitter de l’enfant s’est dénoncé au commissariat. Il est désormais en détention provisoire.
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Le baby-sitter du petit garçon l’a étranglé avant de l’abandonner entre deux voitures
Le 3 novembre, aux alentours de 18h30, un homme de 29 ans se présente au commissariat de police de Choisy-le-Roi. Devant les policiers, il montre une photo de lui en train d’étrangler un enfant de 7 ans. Il avoue être son baby-sitter et lui avoir fait du mal à cause de troubles psychologiques. L’homme indique également avoir abandonné l’enfant de 7 ans entre deux voitures.
La police est dépêchée sur place, mais des riverains avaient déjà découvert le petit garçon. La police découvre alors l’horreur. Le baby-sitter a frappé et étranglé l’enfant de 7 ans avant de lui mettre la tête dans un sac-poubelle et de l’abandonner dans la rue. L’homme de 29 ans maintient ses aveux « sans expliquer davantage son geste » a indiqué le parquet. L’enfant a été pris en charge par les secours dans un état critique.
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L’enfant toujours dans un état critique
Le 4 novembre, le parquet avait indiqué que le pronostic vital du garçon était engagé. Mais aucune nouvelle annonce permet de savoir si l’enfant de 7 ans a survécu à la violence de son baby-sitter. De leurs côtés, les parents de la victime ont confirmé aux enquêteurs que l’homme de 29 ans était le baby-sitter régulier de leur enfant. Ils ont notamment indiqué avoir « une totale confiance » en l’homme.
Alors qu’un nouveau rebondissement dans le suicide de Lucas vient tout bouleverser, le baby-sitter était « inconnu des fichiers de police mais avait été mis en cause dans une procédure ouverte à Paris du chef d’agression sexuelle sur mineure de 15 ans en juin 2022 » a indiqué le parquet. Grâce à ses aveux, l’homme est directement mis en cause dans cette affaire. Cependant, l’aspect psychologique pourrait atténuer sa peine.
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