Une jeune femme qui a inspiré le même « Disaster Girl » a reçu un montant incroyable grâce à sa photo
Elle n’a pas allumé le feu, mais elle a mis le web en ébullition. Zoë Roth, alias Disaster Girl, est devenue une femme célèbre sans le vouloir. Aujourd’hui, elle transforme ce buzz en opportunité. Une vente en NFT, des études payées, et des dons à la clé. Pas mal pour une photo prise à quatre ans !
Une femme, une image, un destin viral !
Zoë Roth n’avait que quatre ans quand sa vie a basculé sans qu’elle ne le sache. Son père, passionné de photo, l’a immortalisée devant une maison en feu. C’était un exercice contrôlé des pompiers, sans danger. Mais le cliché, avec son sourire mystérieux, a captivé internet. En quelques clics, la petite fille est devenue une icône mondiale !
Très vite, les internautes ont partagé, détourné et même remixé l’image des milliers de fois. Zoë est devenue la « Disaster Girl », malgré elle. Elle a grandi avec cette notoriété étrange, entre fierté et gêne. Être une femme qu’on associe à un mème mondial n’est pas anodin. Cela soulève des questions d’identité et de contrôle de son image.
Des années plus tard, elle a décidé de reprendre la main. À 21 ans, elle a vendu le cliché en NFT, récoltant un montant astronomique d’environ 407 000 €. Elle prévoit de financer ses études et d’aider des associations. Une manière subtile de transformer une image figée en opportunité bien réelle !
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Zoë face à la célébrité numérique !
Être le personnage principal d’un mème mondial n’est pas toujours simple. Zoë n’a jamais cherché cette célébrité. La jeune femme a grandi avec une image virale qu’elle ne contrôlait pas. Elle parle d’un mélange de chance et de hasard. Toutefois, elle a choisi d’en faire quelque chose de positif.
Elle garde du recul sur cette notoriété étrange. Internet peut être imprévisible, parfois cruel, parfois généreux. Ainsi, Zoë a appris à composer avec cette réalité. Elle accepte son rôle sans se laisser définir par lui. Car une femme peut être un mème, mais aussi bien plus que ça !
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Une femme et un père : l’origine du mème
Tout a commencé avec une sortie banale en famille. Dave Roth, le père de Zoë, voulait simplement prendre quelques photos. Les pompiers avaient allumé un feu dans leur quartier, dans le cadre d’un exercice. Comme par hasard, Zoë se trouvait devant les flammes, avec un sourire intriguant.
Dave a pris une trentaine de clichés ce jour-là. Ce n’est que trois ans plus tard qu’il a publié l’image. Il l’a appelée « Firestarter » sur une plateforme photo. L’expression de Zoë a attiré l’attention des internautes. Elle semblait sortie d’un film étrange, entre innocence et ironie.
L’image a ensuite obtenu une prime dans le cadre d’un concours photo. Zoë l’a découverte dans un magazine et l’a montrée à ses camarades. Elle ne se doutait pas de l’ampleur que cela prendrait. Ce moment figé est devenu viral, bien au-delà de leur quartier. Comme quoi, une simple photo a transformé une femme en icône numérique !
Les internautes n’ont pas tardé à réagir à cette image devenue culte. « Je ne compte plus le nombre de fois où sa tête est apparue sur mon écran », plaisante un utilisateur. Un autre écrit : « Elle a ce regard qui dit : « Oui, j’ai mis le feu, et alors ?” ».