Mort d’Agathe Hilairet : « Son décès n’est pas dû à une cause naturelle », nouvelles révélations glaçantes
Le 10 avril, Agathe Hilairet quittait le domicile de ses parents pour aller courir, comme à son habitude. Mais la jeune femme de 28 ans ne rentrera jamais. Son corps est finalement retrouvé près d’un mois plus tard, le 4 mai. Selon les données de sa montre connectée, son décès ne serait pas dû à une cause naturelle. Voici où en est l’enquête.

Agathe Hilairet victime d’une mort brutale
Agathe Hilairet était portée disparue depuis la matinée du 10 avril alors qu’elle avait quitté le domicile de ses parents, à Vivonne, dans la Vienne, pour courir. Son corps sera retrouvé par un promeneur le dimanche 4 mai, dans un sous-bois, à plusieurs centaines de mètres du parcours habituel de la jeune femme.
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Une question est sur toutes les lèvres : que s’est-il passé avant le décès de la joggeuse ? D’après TF1, l’analyse de la montre connectée d’Agathe retrouvée par les enquêteurs a livré de précieuses informations sur les circonstances de sa mort.

La montre connectée a permis de révéler que la mort de la joggeuse a été brutale. Son rythme cardiaque s’est en effet accéléré avant que son cœur ne cesse de battre. Les données nous apprennent également que le corps de la jeune femme a été déplacé après son décès.
Aucun suspect identifié par les enquêteurs
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Grâce aux données GPS de sa montre, les enquêteurs ont pu voir les chemins empruntés par la joggeuse. Le signal a cessé d’émettre sur un chemin de forêt, proche d’une voie ferrée. Mais le corps d’Agathe Hilairet a été retrouvé à un autre endroit, à plusieurs centaines de mètres de là où elle est décédée.
« La montre avec le programme sur le téléphone a été vraiment essentielle pour expliquer que son décès n’était pas dû à une cause naturelle, mais avec un stress particulier venant de l’extérieur et un stress dû à quelqu’un d’autre puisque son corps a été déplacé », explique le général François Daoust, ancien directeur de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, à TF1.

Si la piste criminelle semble privilégiée, les gendarmes continuent de mener l’enquête pour confirmer l’intervention d’un tiers dans le décès de la jeune femme. Pour l’heure, il n’y a toujours aucun suspect. Les enquêteurs se penchent sur le bornage des téléphones et des voitures qui étaient présents près de la zone lors de la disparition.