Un « homme mort » se présente à ses propres funérailles
« Je suis vivant ! » : un jeune homme de 22 ans a semé la stupeur en apparaissant à ses propres funérailles. La foule, rassemblée pour lui rendre hommage, n’en croyait pas ses yeux.
Les proches, en deuil, ont vu le supposé défunt arriver en pleine forme à la cérémonie. Face à l’assemblée médusée de ses funérailles, il a déclaré : « Je suis vivant ! ». Une question a immédiatement surgi : si lui était bien vivant, qui reposait alors dans le cercueil ?
Confusion aux funérailles : le faux défunt et un corps non identifié
Tout commence le 18 septembre 2025, lorsqu’un jeune homme est écrasé par un camion transportant de la canne à sucre. D’abord soupçonné de s’être suicidé, le cas a finalement été classé comme un homicide involontaire. Les procureurs ont alors ordonné une autopsie.
Le lendemain, une femme s’est présentée au commissariat. Elle a affirmé être la mère du défunt et a reconnu le corps grâce aux vêtements et à certains traits physiques. Les autorités, convaincues, ont remis la dépouille à la famille. Une veillée funèbre a été organisée le week-end suivant.
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C’est au beau milieu de cette cérémonie que son fils, dont l’identité n’a pas été révélée, est apparu en chair et en os. Son retour inattendu a plongé la famille dans un mélange de choc, d’incompréhension et de soulagement.
Le véritable défunt identifié
Le jeune homme a expliqué qu’il avait disparu plusieurs jours pour faire la fête à Alderetes, au nord de Cordoba, en Argentine. Il ignorait totalement la confusion que son absence avait provoquée. Conduit au commissariat, il a dû s’expliquer devant la police.
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Pendant ce temps, le corps remis par erreur à sa famille a été renvoyé à la morgue pour vérification. Il s’agissait en réalité de Maximiliano Enrique Acosta, 28 ans, originaire de la ville voisine de Delfín Gallo. Sa dépouille a finalement été remise à sa véritable famille, qui a pu organiser les funérailles le 23 septembre.
Une double erreur administrative dénoncée
Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Les proches de Maximiliano affirment avoir d’abord vu un autre corps avant de récupérer le bon. Son frère Hernán s’est indigné :
« Tout a été faux dès le début. Ils ont remis le corps sans vérification. Ensuite, ils m’ont fait aller deux fois à la morgue. Nous n’aurions jamais dû subir cela après tout ce que nous avons traversé. »
Face au tollé, le bureau du procureur a ouvert une enquête interne pour comprendre comment ces erreurs successives ont pu se produire.
- 29/09/2025 à 22:43Je vient de terminer de lire l articles c est vraiment m importe quoi je me mais à laPlace de la famille du jeune homme sa a dû être vraiment horrible
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