Ariane Brodier victime d’une violente agression, elle n’arrive plus à sortir de chez elle (vidéo)
Le 8 décembre 2025, Ariane Brodier prenait la parole sur son compte Instagram après les deux agressions successives qui ont bouleversé son quotidien.
Très amochée physiquement, encore sous plâtre après son opération du nez, l’animatrice tente de remonter la pente entourée des siens. Mais derrière les pansements, c’est surtout le choc psychologique qui persiste, tant ces violences l’ont laissée profondément traumatisée comme vous pouvez le voir en vidéo ci-dessous :
Ariane Brodier victime d’une violente agression
Ces dernières semaines ont viré au cauchemar pour Ariane Brodier. Elle a d’abord été prise pour cible le 20 novembre lors d’un footing, attaquée par trois chiens non tenus en laisse, ce qui lui a valu des morsures profondes à la main et au mollet.
Elle pensait déjà avoir vécu le pire, mais trois jours plus tard, elle subissait une seconde agression, cette fois par un homme qu’elle ne connaissait pas.
Le choc a été terrible : nez fracturé, arcade ouverte, entorse cervicale, puis une opération du nez le 2 décembre pour remettre sa cloison en place.
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En story Instagram, l’animatrice a confié en montrant son pansement : « Comme vous pouvez le constater, j’ai encore mon plâtre (…) J’ai encore mon plâtre jusqu’à lundi prochain », rappelant qu’elle se « reconstruit auprès des siens ».
Même si elle garde un ton digne, elle ne cache pas l’impact de ces violences, qu’elle qualifie de véritable traumatisme.
Et malgré le soutien de Fulgence Ouedraogo, qui lui a écrit : « Après ces jours difficiles… sache qu’on est là. Le monde t’a blessé, mais rien n’éteint ta lumière », le chemin vers la guérison reste long.
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Elle n’ose plus sortir de chez elle
Si son corps commence doucement à récupérer, son esprit, lui, reste secoué. Le 8 décembre 2025, dans sa nouvelle prise de parole sur Instagram, Ariane Brodier expliquait ne plus réussir à retrouver une vie normale.
C’est simple : la peur l’empêche désormais de mettre un pied dehors. Elle a donc accepté d’entamer un suivi spécialisé EMDR pour dépasser le traumatisme.
Elle dit vouloir « aller de l’avant », recourir dehors, se balader sans crainte… mais pour l’instant, elle en est loin.
Son aveu le plus fort, partagé avec ses abonnés, résume tout : « Aujourd’hui, je ne peux même pas aller faire mes courses toute seule ».
Ce quotidien paralysant, elle espère vraiment le laisser derrière elle. Et à l’entendre, malgré la terreur encore bien présente, sa détermination semble intacte. C’est tout ce qu’on peut lui souhaiter.
