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« J’adorais qu’on me mette… » : les confidences chocs de Brigitte Bardot sur son intimité

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Loin des plateaux de tournage et des shootings glamour, Brigitte Bardot continue de s’exprimer sans filtre, n’en déplaise à ses détracteurs.

Brigitte Bardot : une personnalité pas toujours appréciée

Elle n’a pas sa langue dans sa poche. Brigitte Bardot l’a prouvé tout au long de sa carrière, mais surtout après. Débarrassée du fardeau d’icône et de modèle à suivre, l’amoureuse des animaux laisse libre cours à sa pensée, quitte à choquer. Ni soumise, ni tout à fait libre, celle que l’on surnomme BB assume une certaine dépendance aux hommes, elle dont les frasques sentimentales ont été jetées en pâture aux Français qui les commentent alors allègrement.

Et bien que certains se rappellent uniquement sa beauté, elle affirme n’en avoir pas toujours eu conscience. Ainsi, elle confie : « J’essayais de me faire la plus jolie possible et même comme ça, je me trouvais moche. J’avais un mal fou à sortir, à me montrer. J’avais peur de ne pas être à la hauteur de celle qu’on attendait que je sois. À mon âge, je n’en ai rien à foutre. Je ne veux plus séduire, ni rien ni personne ».

Aujourd’hui totalement détachée de son apparence, elle reconnaît avoir apprécié les gestes que les femmes dénoncent désormais à cor et à cri. C’est d’ailleurs pourquoi elle refuse d’être considérée comme une défenderesse de la cause des femmes. « Pendant les tournages, j’adorais qu’on me mette les mains aux fesses quand je passais. C’était la spécialité des machinistes. Des gens très gentils, tous des super copains. Sur les tournages, les ambiances étaient libres, familiales« , se souvient-elle, nostalgique.

« Quand les femmes étaient coincées, j’étais décoincée »

Si elle apparaissait alors comme une femme libre, elle n’en a jamais eu l’intention. Selon ses dires, elle n’a fait que suivre ses envies sans se brider. « J’ai toujours fait ce qui m’a plu. Avant, quand les femmes étaient coincées, j’étais décoincée. À présent qu’elles sont décoincées, c’est moi qui suis coincée. J’ai vécu comme j’avais envie de vivre, comme je le ressentais, en me foutant pas mal de la libération de la femme. Les bonnes femmes, maintenant, sont très malheureuses parce qu’elles sont trop libérées ».

Autant de considérations contradictoires qui font d’elle une personnalité pas toujours appréciée. Mais BB n’en a que faire, tant qu’elle peut mener une existence tranquille aux côtés de son époux et tous ses animaux.

La solitude, très peu pour elle. Elle assume sa dépendance à l’ère où l’on prône l’indépendance des femmes. À croire qu’elle apprécie fortement le rôle d’outsider… « Moi, je ne suis pas une femme pour vivre seule. Je ne pourrais pas vivre sans Bernard, je ne suis pas libérée. Je ne suis libérée de rien du tout. Quand je faisais du cinéma, je n’étais pas plus libérée. Il fallait que quelqu’un me tienne la main, de ma maquilleuse à mon fiancé du moment. Je suis une femme dépendante de la tendresse et de la protection de quelqu’un d’autre ».

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— Brigitte Bardot (@brigitte_bardot) September 3, 2025