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« Il aimait bien les p*tes » : Anny Duperey se lâche comme jamais sur… Belmondo ! (vidéo)

Publié par La rédaction le 14 Nov 2022 à 18:33

Parfois, les plus belles amitiés naissent des disputes les plus intenses. Et visiblement, ce fut le cas entre Jean-Paul Belmondo et Anny Duperey.

En effet, dans une récente interview donnée chez Jordan De Luxe, la célèbre actrice française s’est livrée à des confidences très franches au sujet de l’un des acteurs emblématiques du cinéma français. Et pour cause : selon elle, il appréciait particulièrement… « les p*tes » !

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Jean-Paul Belmondo, son péché mignon secret

Quand on est acteur, forcément, les portes s’ouvrent un peu plus facilement. En particulier quand il s’agit… de séduction. Alors quand on s’appelle Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo, forcément, l’histoire n’est pas la même. Dans sa vie, ce dernier a profité, dragué et aimé. Pour autant, celui qui a bénéficié d’un hommage national à son décès n’aimait clairement pas se mettre en danger quand il s’agissait de choisir les femmes avec qui il flirtait.

Et ça, c’est Anny Duperey qui le dit : « Il vivait avec une Italienne pulpeuse qui posait carrément ses seins sur la table. Bref, disons qu’il aimait bien les femmes « coussins » et les p*tes, il faut le dire ». La célèbre actrice, qui a longtemps partagé une relation très conflictuelle avec Jean-Paul Belmondo, estime que ce dernier restait bien éloigné des femmes qui, comme aujourd’hui, n’avaient pas peur de prendre la parole et de s’affirmer comme elles le méritaient.

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L’acteur, un misogyne refoulé ?

Au micro de Jordan De Luxe, Anny Duperey n’a pas mâché ses mots. Si, avant la disparition de Jean-Paul Belmondo, leur relation s’était bien plus apaisée, sa réticence vis-à-vis de l’acteur s’est longtemps expliquée de par l’attitude que pouvait avoir ce dernier vis-à-vis des femmes.

« Moi, j’étais une fille très libre, pas du tout soumise. Je devais être le type de femme qui lui faisait peur !« , a-t-elle finalement terminé par conclure. Dis-donc, on ne s’y attendait pas à celle-là !

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Source : Closer