Kendji Girac victime d’un règlement de compte ? Un ami se confie
C’est une nouvelle qui a suscité beaucoup d’effroi. Ce lundi 22 avril 2024, plusieurs médias rapportaient que Kendji Girac avait été blessé par balle sur un camp de gitans à Biscarrosse, aux alentours de 5 h 30 du matin.
D’après sa version, il s’agit d’un accident domestique, mais les enquêteurs ont visiblement quelques doutes. La piste d’un règlement de compte est évoquée et un ami du chanteur a donné sa version des faits sur le plateau de BFM TV.
Kendji Girac blessé par balle
Les fans et les proches de Kendji Girac ont eu une immense frayeur. Ce lundi 22 avril 2024, ils se réveillaient avec une triste nouvelle, le chanteur et coach de The Voice était entre la vie et la mort après avoir été violemment blessé par une arme à feu.
Selon les premières informations de l’enquête, les policiers ont été appelés quelques minutes plus tard, mais l’accès au camp de gitan de Biscarrosse sur lequel a eu lieu le drame leur a été interdit. Ce sont finalement les pompiers, appelés également qui ont pu secourir en urgence le chanteur.
Il était blessé par balle au thorax, et il s’est fait cela avec un colt 45, dont les balles sont assez grosses. Miraculeusement, il a réussi à s’en sortir, mais plusieurs zones d’ombre persistent.
Le chanteur victime d’un règlement de compte ?
En effet, personne ne comprend comment dans un premier temps, Kendji Girac a pu se procurer une telle arme sur une brocante la veille. La lumière doit être faite sur l’accident également. Les enquêteurs doutent car l’arme a été retrouvée dans un fossé sans chargeur, or si Kendji Girac s’était réellement blessé seul, l’arme aurait été retrouvée à ses pieds.
Aurait-il été victime d’un règlement de compte ou d’une dispute familiale ? Un de ses proches s’est confié auprès de BFM TV ce lundi 22 avril 2024, il s’agit de Niño Baliardo, le cofondateur des Gipsy Kings. Et d’après lui, aucun règlement de compte n’est envisageable.
« Kendji, c’est une star des gitans », confie-t-il avant d’assurer qu’il n’y avait aucune rivalité, « non, au contraire, […] c’est la fierté des gitans ».