Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. People

Le jardinier d’Emmanuel Macron licencié après avoir dénoncé ses conditions de travail en vidéo

Publié par Déborah Attias le 11 Juin 2025 à 16:30

Depuis le démarrage de son second quinquennat, l’équilibre d’Emmanuel Macron a vacillé. En effet, sa côté de popularité au plus bas défraie régulièrement la chronique. Et ce n’est pas le dernier rebondissement en date qui va apaiser les tensions !

La suite après cette publicité
Emmanuel Macron jardinier
TF1
La suite après cette vidéo

Quand le jardinier d’Emmanuel Macron brise le silence

La suite après cette publicité

On ne le sait pas toujours, mais être président de la République offre certains privilèges. Par exemple, dès le début de l’été, les anciens locataires de l’Élysée avaient pour habitude de s’échapper au Fort de Bréançon. Située dans le Var, et plus spécifiquement dans la commune de Bormes-les-Mimosas, cette résidence a longtemps titillé la curiosité des locaux.

À lire aussi

Mais ce n’est pas tout. En région parisienne, et donc aux alentours de Versailles, Emmanuel Macron et son épouse Brigitte ont un accès VIP à La Lanterne. Qu’on se le dise, les hectares de cet ancien pavillon de chasse nécessitent un entretien permanent.

C’est pourquoi, lorsqu’il a décroché un emploi sur place, Lucas G. n‘a pas dissimulé sa joie. Plus que jamais, ce passionné de nature a estimé qu’au début tout se déroulait à merveille, tant avec ses collègues qu’avec ses employeurs.

La suite après cette publicité

À lire aussi

Et là, tout bascule !

Auprès de nos amis de Marianne, le témoignage de Lucas G.a tout fait voler en éclat. Après avoir rappelé la rénovation des lieux, il a déploré le caractère « insalubre de son local« . “Il prenait l’eau à chaque pluie, il n’y a pas vraiment de chauffage, des prises de courant pas aux normes du tout ! Pas de douche ni de toilette, il fallait aller (faire ses besoins naturels) dans le sous-bois.

La suite après cette publicité

Or, quand il a osé pointer du doigt les incohérences, on l’a rapidement remis à sa place. Selon ses supérieurs, en raison d’« autres priorités », lui ont dit qu’il avait « tort de se plaindre. » En mars dernier, ces derniers l‘ont volontairement démis de ses fonctions en le renvoyant à son affection d’origine.

Ne l’entendant pas de cette oreille, il a ensuite saisi le tribunal administratif. « Harcèlement moral« , excès de pouvoir seraient les motifs invoqués par son avocat. Affaire à suivre…