Thierry Ardisson : cette pique bien sentie d’Audrey Crespo-Mara lors de ses obsèques
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Ce jeudi 17 juillet 2025, de nombreux regards étaient tournés vers l’église Saint-Roch située à Paris. Les obsèques de Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet 2025 des suites d’un cancer du foie, s’y sont déroulées avec la présence de nombreux invités, de sa famille et de sa compagne Audrey Crespo-Mara.
Mais durant son émouvant discours, elle a lancé une petite pique à ses invités qui n’est pas passée inaperçue.
Des obsèques bien organisées
Ce jeudi 17 juillet 2025, Paris a salué pour la dernière fois Thierry Ardisson, disparu trois jours plus tôt, le 14 juillet, à 76 ans. C’est à l’église Saint-Roch, surnommée « la paroisse des artistes », que ses proches et de nombreuses figures du monde médiatique se sont réunies.
Dans cette église baignée de noir, dress code imposé, cercueil inclus, les voix de David Bowie, George Harrison ou encore Jean-Louis Aubert ont accompagné ce dernier « bonsoir » qu’il avait lui-même orchestré.
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Fidèle à son sens du détail, l’animateur avait pensé à tout : playlist, faire-part, ordre des interventions. Son épouse, Audrey Crespo-Mara, ses enfants Sékou, Lamine, Manon, Ninon et Gaston, étaient présents.
Mais aussi des personnalités comme Laurent Baffie, Brigitte Macron, Gabriel Attal, Philippe Corti ou Léa Salamé étaient là, certains retenant leurs larmes, d’autres esquissant un sourire en pensant à ses blagues.
La petite pique lancée par Thierry Ardisson
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Mais ce qui a véritablement bouleversé l’assemblée, c’est le discours d’Audrey Crespo-Mara. Face aux invités, elle a commencé par déclarer : « Tu m’as dit : ‘Pitié à l’église avec les enfants, avec les curés, ne faites pas chiant' », a-t-elle rappelé avec un sourire.
Et elle a tenu parole. La journaliste a évoqué cette mort tombée un 14 juillet : « Toi le monarchiste, chapeau bas ».
Mais c’est la petite phrase qui a suivi qui a fait réagir l’assemblée. « Tu m’as dit : ‘Cette cérémonie à Saint-Roch, fais gaffe, ce sera le bal des faux culs' ». Puis, tout en finesse, elle a glissé : « Oui, il y en a sûrement ici. »
Une petite pique, assumée, envers ceux qui n’avaient pas toujours été là. Mais elle a aussi rendu hommage à ceux qui l’ont aimé sans détour : « Tous ceux qui t’ont infiniment respecté, admiré, adoré pendant tant d’années ».
