Donald Trump a détruit une partie de la Maison Blanche pour installer une salle de bal
Donald Trump continue de faire parler de lui avec des projets hors norme. Lundi 20 octobre 2025, il a lancé la démolition de l’aile est de la Maison Blanche pour construire une salle de bal géante de plus de 8 000 m², capable d’accueillir jusqu’à 1 000 personnes.
Financée selon lui par des fonds privés, cette transformation spectaculaire illustre à nouveau son goût pour l’ostentation et la polémique.
Une nouvelle frasque pour Donald Trump
Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump n’a jamais caché son goût pour les extravagances et les décisions qui font jaser.
Entre annonces tonitruantes sur Truth Social et chocs diplomatiques, le président américain accumule les frasques.
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Ces derniers mois, il a multiplié les déclarations provocantes et les projets pharaoniques, toujours en affichant une confiance totale en sa vision : « Je suis heureux d’annoncer que les travaux ont commencé à la Maison Blanche pour construire la nouvelle, grande et magnifique salle de bal », a-t-il proclamé en octobre, lançant un chantier qui fait déjà couler beaucoup d’encre.
Alors que certains dénoncent une priorité aux goûts personnels plutôt qu’aux urgences du pays, Donald Trump continue d’utiliser son image et son influence pour transformer la Maison Blanche à son image, avec des dorures à outrance et des références à sa résidence de Mar-a-Lago en Floride.
Même ses décisions en matière de protocole ou d’accueil des invités étrangers semblent dictées par l’envie de marquer les esprits plutôt que par la tradition.
Les travaux ont commencé
Lundi 20 octobre 2025, cette propension à l’extravagance a pris une tournure concrète : une partie de l’aile est de la Maison Blanche a été détruite pour laisser place à sa salle de bal géante, un projet estimé à 250 millions de dollars et financé, selon Donald Trump, par des fonds privés.
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L’édifice, d’une superficie de plus de 8 000 mètres carrés, pourra accueillir jusqu’à 1 000 personnes et servira à organiser des dîners d’État et autres événements prestigieux.
L’extension concerne notamment les bureaux de la première dame, déplacés temporairement, et intervient malgré les assurances précédentes selon lesquelles le bâtiment existant ne serait pas abîmé.
« L’aile de la Maison Blanche est en train d’être complètement modernisée » et « sera plus belle que jamais une fois les travaux terminés », s’est réjoui le président.
Entre ostentation et controverse, cette destruction partielle de l’édifice historique symbolise à elle seule le style Trump : imposer sa vision, quitte à bousculer traditions et critiques.
