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Emmanuel Macron : Mediapart lache une bombe à laquelle personne ne s’attendait sur le Président

Publié par FJ le 02 Juil 2022 à 11:23
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Une ancienne enquête de Mediapart dévoilée en janvier dernier vient de refaire surface ce jeudi 30 juin 2022. Cette dernière met en lumière le fait qu’Emmanuel Macron aurait payé de la main à la main certains agents de sa sécurité. Une situation que le Cnaps, l’autorité de contrôle a décidé de classer sans suite. 

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Une nouvelle enquête coup de poing pour Mediapart

Ce n’est plus un secret pour personne, Mediapart est redoutable. Le média géré par Edwy Plenel ne cesse de faire parler de lui ces derniers jours pour ses enquêtes extrêmement pointues. Récemment, sur son plateau, les journalistes du site recevaient plus d’une vingtaine de femmes qui se disaient toutes victimes de Patrick Poivre d’Arvor, ancien journaliste star du JT de TF1.

Mais ce vendredi 24 juin 2022, c’est une autre enquête qui a énormément fait parler d’elle. Celle-ci mettait en lumière les agissements de Leo Grasset, célèbre YouTubeur, connu pour ses vidéos de vulgarisation scientifique. Selon plusieurs témoignages, il aurait eu des comportements déplacés envers certaines femmes et l’une d’entre elles l’accuse même de viol. Des accusations qu’il n’a pour l’instant pas souhaité commenter. 

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Emmanuel Macron dans l’illégalité ?

Mais ce jeudi 30 juin 2022, c’est une ancienne enquête de Mediapart qui refait surface. Sortie en janvier 2022, elle pointe du doigt le fait qu’Emmanuel Macron aurait payé de la main à la main plusieurs agents de sa sécurité pour l’un de ses meetings à Bercy avant qu’il ne soit président de la République, en 2017. Un travail non déclaré qui est évidemment illégal.

Pire encore, les agents de sécurité n’avaient même pas les cartes nécessaires pour exercer le métier. Le Conseil national des activités privées de sécurité, qui dépend du ministère de l’Intérieur aurait été alerté de ces agissements mais celui-ci, géré par le préfet Cyrille Maillet, a décidé de classer l’affaire sans suite, contre l’avis de ses collaborateurs qui auraient souhaité l’inverse.

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