Emmanuel Macron : ce qu’il interdit formellement à ses gardes du corps
Actuellement en vacances avec son épouse au Fort de Brégançon, Emmanuel Macron veille au grain. Il a été révélé que ses gardes du corps ont l’interdiction de se plaindre des conditions de travail. Découvrez pourquoi dans la suite de l’article.
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Emmanuel Macron en vacances
Malgré un début d’année explosif, Emmanuel Macron essaye de profiter de ses vacances au Fort de Brégançon tant bien que mal. C’est quasiment mission impossible pour le Président qui doit faire face aux événements survenus à Beyrouth et quelques déplacements en France (Toulon). Pour le moment, ses vacances sont « calmes et studieuses » sous l’oeil attentif de ses nombreux gardes du corps.
Ces derniers sont dans le viseur du Chef de l’État depuis qu’un gendarme de la Garde Républicaine a été renvoyé en 2019 après s’être plaint des conditions d’hébergement de son unité. En effet, son équipe était logée dans un hôtel réquisitionné où « la climatisation (était) restée en panne durant deux jours » révélait Le Point. Depuis cette affaire, les gardes du corps doivent être irréprochables.
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La relation tendue entre Emmanuel Macron et ses gardes du corps
Il est désormais clair que le Président garde à un oeil sur ses agents de sécurité. À l’époque, Benoît Ferrand, chef de la sécurité d’Emmanuel Macron, était en charge du renvoi du gendarme qui « aurait mal digéré que le chef de l’État lui demande des explications ».
En août 2019, Ferrand est nommé à la tête de la sécurité de la présidence. Un poste qui ne plaît pas à tout le monde puisque certains le soupçonnent d’avoir un « agenda caché ». Le but serait de se débarrasser des gardes du corps pour des gendarmes non syndiqués. Selon eux, les représentants des policiers « parleraient trop » et « seraient à l’origine de fuites ». Pour calmer la situation, Georges Salinas, ancien numéro 2 de la BRI à la tête du GSPR, est nommé commissaire divisionnaire pour améliorer la communication.
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Source : Gala