Covid-19 : l’épidémie reprend en France, à quelques jours de la rentrée scolaire
À quelques jours de la rentrée, une mauvaise nouvelle vient frapper les établissements scolaires et les plus fragiles. En cette fin d’été 2025, l’épidémie du Covid-19 semble reprendre en France. En cause, la circulation du virus dans les eaux usées. Pour autant, le risque est pour le moment modéré.
Covid-19 : une reprise de l’épidémie en France !
En mars 2020, la France a été confinée pendant près de deux mois. En cause, la circulation d’un virus dangereux pour les plus fragiles. C’est alors que le Covid-19 entre dans nos vies, et bouscule tout. Mais cinq ans plus tard, est-on débarrassé du virus ?
Eh bien non. Santé publique France continue de surveiller l’évolution de l’épidémie dans le pays. Et c’est d’ailleurs cette surveillance qui a permis de donner l’alerte. Depuis début août, le nombre de personnes contaminées par le Covid-19 est en augmentation.
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Santé publique France révèle notamment une hausse de 18% du nombre de passages aux urgences et d’hospitalisation entre le 18 et le 24 août 2025 pour Covid-19. Le virus toucherait particulièrement « les 75 ans et plus » .
Le virus « sous-diagnostiqué » ?
Mais pourquoi le Covid-19 revient en force ? Cela serait dû à la propagation du virus par les eaux usées, comme le révèle Le Parisien. Et à quelques jours de la rentrée scolaire, cette augmentation, bien que modérée, inquiète. En effet, si le Covid-19 évolue une nouvelle fois, le gouvernement pourrait une nouvelle fois prendre certaines mesures.
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Evidemment, dans la situation actuelle de la France, un confinement est loin d’être envisagé. Cependant, certains médecins estiment que le Covid-19 pourrait être « sous-diagnostiqué » . Avec des effets parfois minimes, cela rend les règles de distanciation sociales plus compliquées. Certains contractent le virus sans s’en rendre compte.
Mais après cinq ans et une immunité plus accrue de la population face au virus, doit-on s’inquiéter ? Oui, dans certaines mesures. Rappelons que les personnes fragiles ont plus de risques de connaître des complications face à la maladie. De plus, les tests semblent manquer en pharmacie et dans les hôpitaux.