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VIDEO : Jean-Luc Mélenchon méprise une journaliste en se moquant de son accent

Publié par Mélaine le 18 Oct 2018 à 11:34
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Jean-Luc Mélenchon ne semble pas avoir apprécié la question gênante d’une journaliste. Au lieu d’y répondre, il a préféré s’en moquer tout en la méprisant.

 

Jean-Luc Mélenchon face à une journaliste.

Alors que les médias ne cessent de parler depuis ce mercredi 17 octobre de la perquisition du siège de son parti et de sa propre maison, Jean-Luc Mélenchon s’est montré virulent à l’égard d’une journaliste.

 

Peu importe notre opinion politique, le mépris ne peut jamais passer. Et quand en plus de rabaisser une journaliste et sa question, le chef de la France Insoumise se moque ouvertement de l’accent d’une journaliste, ça ne passe pas.

 

Alors que la journaliste lui posait une question amplement justifiée sur le fait qu’il n’ait pas toujours crié au scandale lorsque les perquisitions avaient lieues chez ses adversaires, Jean-Luc Mélenchon s’est montré des plus hautains.

 

Jean-Luc Mélenchon singe l’accent de la journaliste

Alors que Véronique Gaurel, journaliste à France 3 tentait désespérément de reformuler sa question, Jean-Luc Mélenchon avait décidé de ne pas y répondre. Et, pour lui, il semble que la meilleure façon de se défendre soit l’attaque.

 

Il s’est alors ouvertement moqué de l’accent de la reporter originaire de Toulouse en lui répondant « Et alors ? Quesseu-que ça veut direuh ? »

 

Agacé, il a préféré mépriser son travail. Aussi, il lui a répondu que « Non, Madame, vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous dites n’importe quoi. »

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Enfin, il a pris la foule de journalistes qui l’entouraient à partie en leur demandant si « quelqu’un a une question formulée en français ? Et à peu près compréhensible parce que votre niveau me dépasse. Je ne comprends pas. »

 

La journaliste, Véronique Gaurel, s’est dite « blessée » par cette attitude. Quelques heures plus tard, le syndicat national des journalistes de France 2 a condamné, dans un communiqué, la « violence verbale » et « l’humiliation gratuite » subie par la journaliste.

 

Un faux pas de la part du chef de la France Insoumise qui ne risque pas de passer inaperçu.