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« Elle a un peu pleuré » : Ce craquage de Giulia Sarkozy après la condamnation de son père

Publié par Elodie GD le 02 Oct 2025 à 11:02

Reconnu coupable d’association de malfaiteurs, Nicolas Sarkozy fait désormais face au désespoir et à la colère de ses proches.

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Une famille sous le feu des projecteurs

Le clan Sarkozy vacille. Il faut dire que le récent verdict a grandement fragilisé le septuagénaire, sa femme et ses enfants, qui s’attachent à faire bonne figure en public – à l’exception de quelques écarts. S’il continue de clamer son innocence, l’ex-chef de l’État a indiqué qu’il se pliera au jugement, « la tête haute ».

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En attendant, lui et ses proches ont fait le choix de suivre le cours de leurs existences et de profiter pleinement de ce qui pourrait être leurs derniers instants en famille. Ainsi, une fois le verdict rendu, le clan Sarkozy presse le pas en direction d’un restaurant où ils sont accueillis en grande pompe. Les clients attablés les saluent et les acclament, une sollicitude qui a eu raison du self-contrôle de la petite dernière.

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Verdict : Giulia Sarkozy craque
@giulia.sarkozy

Si elle est parvenue à rester de marbre jusqu’ici, cet élan de gratitude lui fait monter les larmes. Un lâcher-prise qui n’échappe pas au paternel, qui face à la foule, lui glisse : « Mais tu es une Sarkozy ou tu n’es pas une Sarkozy ? ». Une phrase lourde de sens qui tarira immédiatement le torrent de larmes.

Le clan Sarkozy, contre vents et marées

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Et Pascal Praud, qui rapporte la scène sur les ondes d’Europe 1, de répliquer : « Elle a un peu pleuré. C’est bien normal, elle a 13 ans, je crois ». Exposée depuis sa plus tendre enfance, la petite Giulia est de la génération des réseaux sociaux. Populaire sur TikTok, elle y partage sa passion pour l’équitation et glisse de plus ou moins discrètes allusions à la situation de son père.

Soutien indéfectible, elle va jusqu’à s’attirer les foudres de la presse, tant elle le défend.

Ses frères, eux, font le choix de la discrétion, limitant les prises de parole à ce sujet. Toutefois, comme leur sœur, ils soutiennent leur père coûte que coûte en répondant présents lors des audiences. Reste Carla Bruni qui, outrée de la décision de la Cour, reste forte et projette de porter sa famille à bout de bras s’il le faut. Un fonctionnement clanique qui attire bien des curieux… et à raison.

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