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La variole du singe détectée chez l’humain : y a-t-il un risque d’épidémie ?

Publié par Justine le 21 Juil 2021 à 21:36
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De retour du Nigeria, un résident américain a été testé positif à la variole du singe. Également appelée Monkeypox, cette maladie infectieuse rare se transmet aussi bien aux humains qu’aux animaux. Risque-t-on une nouvelle épidémie ?

La variole du singe détectée aux États-Unis

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La variole du singe détectée aux États-Unis

Le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies a annoncé dans un communiqué publié vendredi, qu’un résident américain a bel et bien la variole du singe. L’homme a attrapé cette maladie infectieuse rare lors d’un séjour dans un hôpital du Niger. Il est actuellement soigné dans un hôpital de Dallas.

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Le Monkeypox se manifeste par la grippe puis le gonflement des ganglions lymphatiques et une éruption cutanée généralisée. Il peut donc peut avoir des conséquences dramatiques. Très présente en Afrique centrale, la souche qui touche actuellement l’Américain provient de l’Afrique de l’Ouest. 

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Qu’est-ce que la variole du singe ?

Non pas transmis par le singe comme son nom l’indique, la variole provient en réalité d’un contact direct avec des rongeurs comme des rats ou des écureuils. La maladie virale peut également être transmise à travers du linge contaminé ou de personne à personne. Par ailleurs, il n’y a aucun traitement spécifique et l’infection dure de 2 à 4 semaines.

Depuis cette découverte, l’ensemble des passagers des deux avions sont appelés à être testés afin d’éviter une possible propagation de la variole du singe. Le CDC précise toutefois que « Les voyageurs sur ces vols devaient porter des masques, comme dans les aéroports américains en raison de la pandémie de Covid-19. Par conséquent, on pense que le risque de la reproduction la variole du singe des gouttelettes respiratoires à d’autres dans les avions et les aéroports est faible ».

Actuellement, 6 personnes provenant du Royaume-Uni, de Singapour et d’Israël sont contaminées.

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