Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Automobile

Des péages sans barrière pour 2024

Publié par Charlène Deveaux le 27 Déc 2021 à 8:33
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

À partir de 2024, sur les autoroutes reliant Paris à la Normandie, les conducteurs auront la possibilité de conduire à la vitesse autorisée sur l’autoroute sans ralentir ni s’arrêter. À la place, des portiques avec des caméras et des capteurs identifieront les véhicules.

Publicité

>>> À lire aussi : Autoroutes : mauvaise nouvelle pour 2022

Des capteurs à la place des barrières

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

On n’arrête pas le progrès. À la fin de l’année 2024, les voitures pourront passer sans s’arrêter au péage, sur les autoroutes A13 et A14 reliant Paris à la Normandie. Les traditionnelles barrières seront remplacées par des capteurs sur des portiques. Une nouvelle annoncé ce mercredi 22 décembre par la Société des autoroutes du nord et de l’est de la France (Sanef).

Publicité

Comment ça marche ? Grâce à ces capteurs, leur véhicule sera analysé et leur compte automatiquement débité. Seule contraire : il faut être abonné au télépéage. Dans le cas contraire, vous pourrez rentrer votre plaque d’immatriculation via le site ou  sur l’application de la Sanef. Le paiement peut s’effectuer après le coup de fil, via internet ou sur une borne.

péages

Bénédiction écologique

La Sanef a assuré que cette décision comptait parmi ses avantages « des réductions des émissions de CO2 dans l’atmosphère ». Ce projet de péage du futur avait commencé en mars 2019, à l’échangeur de Boulay-Moselle sur l’autoroute A4. Une réussite, selon la société « Le système technologique a démontré sa fiabilité et les clients se sont familiarisés avec ce nouveau système de paiement ». 

Abonnez vous à la Newsletter TDN

Publicité

En ce qui concerne l’A13 et l’A14, il faut se projeter encore plus loin : 2027, à cause de la destruction des barrières de péage. Mais cette élimination est plus que bénéfique envers Mère Nature : au total, 28 hectares seront délivrés. Un investissement estimé aux alentours de 120 millions d’euros. Un petit budget dérisoire qui provoquera une hausse annuelle des tarifs de 0,22% pendant trois ans, à partir du 1er février 2022.

>>> À lire aussi : Un chien surpris en train de conduire une Tesla

INSCRIPTION NEWSLETTER TDN

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.