« Le Mangeur d’hommes » : Ce criminel a tué ses codétenus avant de manger leur chair et en donner aux autres prisonniers
Certains meurtriers ont leurs propres raisons de commettre leurs méfaits. Mais ce criminel le fait par pur plaisir ! Ceux qui ont horreur des contenus choquants feraient mieux de passer leur chemin !
L’histoire de José Dorángel Vargas Gomez est une des plus terrifiantes de toutes. Ce criminel ne se contente pas d’ôter la vie de ses cibles. Il va jusqu’à manger leur chair et il n’a pas honte de raconter ses méfaits. Les mots ignoble et sadique ne suffisent pas à le décrire, d’où son surnom de « Mangeur d’hommes » !
De vagabond à criminel de haut rang !
Né dans une famille de paysans pauvres au Venezuela, Vargas attire très tôt l’attention des grandes personnes. Certains d’entre eux affirment qu’il était « possédé par des esprits maléfiques » à cause de son comportement violent. Dès le début, ces gens savaient que le petit garçon allait devenir un criminel en grandissant !
Vargas abandonne très tôt l’école et préfère vivre loin de sa famille. N’ayant aucune qualification, il devient un vagabond et multiplie les petits délits. Afin de remplir sa panse, il n’hésite pas à voler le bétail et les poulets des fermiers. Mais ce n’était que la pointe de l’iceberg, vu ce qu’il est capable de faire !
À lire aussi
En effet, en 1995, le jeune homme a assassiné un autre sans-abri. Pire, ce criminel a consommé certaines parties du corps de sa victime ! Les autorités locales n’hésitent plus et l’enferment dans un centre de détention de haute sécurité. D’après les rapports, il serait atteint de schizophrénie paranoïde et pourrait constituer un danger pour la société !
Des critères précis sur la « bonne chair » !
Deux ans après sa première incarcération, en 1998, Vargas retrouve la liberté. On pourrait penser qu’il a mis un terme à son passé de criminel. Sauf que c’est loin d’être le cas ! Il renoue avec ses vieilles habitudes et vagabonde autour de San Cristobal. Pour cet homme, il s’agit du terrain de chasse idéal !
D’après son propre témoignage, ce criminel aurait tué une dizaine de personnes avant de se faire prendre. Il n’assassinait pas n’importe qui, mais les hommes robustes et en bonne santé. Ainsi, les femmes et les enfants étaient plutôt en sécurité. Son motif ? Il mettait l’accent sur la « qualité » de la chair qu’il allait manger !
À lire aussi
Les enquêteurs ont réussi à obtenir les aveux de cet ignoble meurtrier. La plupart du temps, il démembrait ses victimes avant de les cuire dans des récipients. Il jetait ce qu’il ne mangeait pas dans le fleuve ou les enterrait. Il aimait surtout les mollets, les yeux, les cuisses et les langues. Cet homme a même créé la recette d’une soupe cannibale !
Le bouquet final du pire criminel de l’histoire !
Naturellement, la justice a condamné ce criminel à la prison à perpétuité, sans que personne ne puisse interagir avec lui. Sauf que cela ne l’a pas empêché de retourner à ses anciennes activités. En 2016, alors que la prison subissait une émeute, le criminel collabore avec un gang local.
Leur objectif était de semer la pagaille au sein de la prison. Pour ce faire, rien de mieux que la présence d’un cannibale et de ses sbires dans les rangs des criminels ! Vargas aurait tué deux prisonniers avant de les manger. Il a même invité d’autres détenus à son festin macabre !
Heureusement, ce criminel est maintenant hors d’état de nuire. Il se trouve dans la même prison, à Táchira, et ne peut plus utiliser ses mains. Par contre, son surnom du « Hannibal Lecter des Andes » va rester dans les annales des pires meurtriers de l’histoire !
