Une femme qui a vu d’énormes trous sur son visage à cause d’une chirurgie low-cost lance l’alerte sur les cliniques douteuses
Vieillir, c’est naturel. Mais certaines femmes préfèrent le faire avec un petit coup de pouce chirurgical. Leigh Cobb, 53 ans, ne cache pas son amour pour le bistouri bien placé. Entre lifting, laser et liposuccion, elle a tout testé… ou presque. Elle assume ses choix, ses erreurs, et ses cicatrices. Et elle a un message clair : beauté oui, mais jamais à la va-vite !
Une femme en quête de jeunesse éternelle !
Leigh Cobb, 53 ans, sourit devant son miroir. Son visage est lisse, ses rides ont disparu. Cette femme vient de subir un lifting du visage et du cou en Pologne. Le coût : environ 5 520 euros. Pour elle, cette opération vaut chaque centime. Elle se sent rajeunie, confiante, et pleinement satisfaite du résultat !
Leigh a commencé tôt. À 29 ans, elle a en effet fait une liposuccion pour retrouver un ventre plat. Puis, à 35 ans, elle a fait remonter ses paupières au Royaume-Uni pour environ 4 025 euros. Elle a bien évidemment adoré le changement. La femme dit que cette opération a marqué le début de son addiction.
À 42 ans, elle découvre le laser Fraxel pour réparer sa peau abîmée par les rayons UV. Elle vivait à Dubaï, s’exposait souvent en cabine UV et partait souvent en vacances au soleil. Le traitement coûte 1 725 euros au Royaume-Uni. Et en Pologne, elle le trouve à seulement 460 euros. Elle choisit alors un chirurgien bien noté, avec d’excellents avis en ligne. Mais les choses ne se passent pas toujours comme prévu !
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Les dangers de la beauté express
En 2015, la femme addict aux chirurgies tente un lifting rapide par fils tenseurs. L’intervention dure 15 minutes. Elle paie environ 1 380 euros, pleine d’espoir. Mais le lendemain, elle découvre des trous béants dans ses joues. Le chirurgien n’avait qu’une semaine de formation. Elle est horrifiée, mais on lui dit que « ça va passer ».
La femme rentre chez elle, inquiète, et décide de ne plus jamais agir sur un coup de tête. Pour réparer les dégâts, elle consulte un spécialiste à Derby. Celui-ci propose une chirurgie laser à 2 300 euros. Terrifiée, Leigh préfère une approche douce : massages quotidiens et crème à la vitamine E.
Après deux mois, les trous commencent enfin à disparaître. Elle respire, soulagée mais ne parvient pas à oublier cette mauvaise expérience. Elle déclare : « Après cette horreur, j’ai juré de ne plus faire de procédures à la légère ».
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Malgré tout, notre belle femme ne renonce pas à la chirurgie ! À 45 ans, elle fait remonter sa poitrine au Costa Rica. Elle paie environ 3 450 euros, cette fois bien informée. Leigh prend le temps de choisir son chirurgien. Elle lit alors les avis, compare les techniques et vérifie les diplômes !
Une femme déterminée à se réinventer !
La chirurgie s’est bien passée et Leigh a reçu beaucoup de compliments. Malgré tout, la femme ne se sentait pas bien dans sa peau. Son cou lui semblait flasque, vieilli. Elle parle d’un « cou de dinde » qui affecte sa confiance. Elle veut alors retrouver une silhouette plus nette !
Et même réflexe, puisqu’elle commence à chercher un chirurgien pour un lifting du bas du visage et du cou. Leigh veut une opération sûre, sans surprise, et surtout bien réalisée. Elle tombe sur une chirurgienne polonaise très bien notée. Les avis sont positifs, les photos convaincantes.
Le prix est aussi un facteur : environ 5 520 euros, soit 13 800 euros de moins qu’au Royaume-Uni. Mais Leigh insiste : « Je choisirai toujours la sécurité avant le coût ». Avant d’ajouter qu’il n’y a rien de mal à prendre soin de soi, tant que c’est fait avec prudence.