« La police ne se fait pas respecter » : après les émeutes et la mort de Nahel, Booba prend la parole !
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Plus d’un mois après les émeutes liées à la mort de Nahel des suites d’un tir reçu par un policier, le calme est revenu en France. Si beaucoup se sont exprimés lorsque la situation était critique, Booba, lui, a préféré attendre. Ces derniers jours, le rappeur a pris la parole et n’a pas manqué de dire tout le fond de sa pensée. Les émeutiers, la police, l’État français : tout le monde en prend pour son grade !
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Booba se lâche sur les émeutes
Il est finalement devenu une parole que tout le monde attend avec impatience dès lors qu’un évènement de société frappe la France. Et pour cause… Après avoir connu un succès des plus énormes dans sa carrière de rappeur, il n’hésite pas, dorénavant, à prendre la parole sur des sujets qu’il considère comme importants. Tout le monde se rappelle sa lutte perpétuelle contre le monde de l’influence et ceux qu’ils adorent surnommer… « les influvoleurs ».
Alors, dans le cas des émeutes survenues à la suite de la mort du jeune Nahel à Nanterre, la réaction de Booba était forcément très attendue ! Ce n’est que le 6 août, dans une interview donnée au célèbre magazine Le Point, que le rappeur a livré ce qu’il pensait sur l’affaire. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y est pas allé de main morte. « Les émeutes ? Je trouve que la police, le système judiciario-carcéral et plus globalement l’État, ne se font pas respecter », a-t-il notamment expliqué.
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Les peines de prison dans son viseur
Pour le rappeur, un problème précis provoque l’absence totale de peur chez les jeunes vis-à-vis de l’autorité : les peines de prison. « Les peines de prison sont trop légères et surtout rarement appliquées. Les policiers sont discréditées. (Aux États-Unis), c’est loin d’être parfait, mais tu ne défies pas la police à la bagarre », a-t-il ainsi poursuivi dans les colonnes du Point.
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