Emmanuel Macron : la décision choc qui pourrait précipiter sa chute
Selon Le Parisien du 3 novembre et RTL du 4 novembre, Emmanuel Macron aurait décidé de prendre du recul sur les affaires nationales, lassé des critiques de son propre camp après plusieurs déclarations polémiques.
Le président, fragilisé par une impopularité record, préfère désormais se concentrer sur les dossiers internationaux. Une décision qui ne manque pas de faire réagir jusque dans les rangs de la majorité.
Emmanuel Macron prend une décision
Emmanuel Macron aurait décidé de lever le pied sur les affaires intérieures, une décision qui fait déjà grand bruit.
D’après Le Parisien du lundi 3 novembre et RTL du mardi 4 novembre, le président aurait confié à ses proches qu’il comptait se désengager de « la politique nationale », après avoir reçu de nombreuses critiques de la part de son propre camp.
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En cause : plusieurs prises de position jugées maladroites, notamment sur la réforme des retraites. En déplacement en Slovénie le 21 octobre, Emmanuel Macron avait affirmé qu’il n’y aurait « ni abrogation, ni suspension » du texte, contredisant son ministre Sébastien Lecornu.
Une sortie mal perçue au sein de la majorité : « Ça lui a fait ch*** de devoir capituler sur la réforme des retraites, il ne l’a pas digéré », a confié un député à RTL.
D’autres ministres se sont montrés plus virulents encore : « Pour nous, c’est mieux qu’il se taise. Pourquoi est-il venu contredire Lecornu ? Il veut quoi ? Une censure et une dissolution ? » s’est emporté l’un d’eux auprès du Parisien.
Il met de l’huile sur le feu
Face à cette fronde interne, Emmanuel Macron aurait reconnu avoir entendu les sévères remontées de ses troupes, glissant même à certains élus : « Sur la politique nationale, je lâche le manche ».
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Mais cette confession n’a pas vraiment calmé les esprits. « Désormais, je ne l’écoute plus. Il nous a fait beaucoup de mal », a lâché un député du groupe Ensemble pour la République.
Selon le baromètre Verian pour Le Figaro Magazine, seuls 11 % des Français font encore confiance au chef de l’État, un record d’impopularité comparable à celui de François Hollande en 2016.
Alors qu’il tente de se recentrer sur des sujets internationaux, Emmanuel Macron semble aujourd’hui plus isolé que jamais.
Un ministre résume la situation avec amertume : « Il a fait un choix de recroquevillement qui signe la fin du macronisme ».
- 09/11/2025 à 11:53Lorsque De Gaulle a appris l'echec de son réferendum du 27 avril 1969 il a démissionné immédiatement. Cette décision respectait le principe constitutionnel de la souveraineté populaire, principe que ne reconnaît pas le président Macron partisan de la souveraineté d'une Union Européenne technocratique et mondialiste. Proclamer la souveraineté nationale et la souveraineté populaire n'est pas conforme au progressisme macronien qui entend réserver l'exercice du pouvoir aux élites bourgeoises de la mondialisation . Les revendications du peuple vont à l'encontre de sintérêts des élites. Dès lors le populisme doit être rejeté. Toutefois, l'avenir de l'U.E. est bien incertain avec l'hostilité de Poutine et de Trump et de nombreux de ses Etats-membres! L'Europe des technocrates va se démembrer rapidement. La défaite de l'Ukraine, qui ne saurait tarder, sera le coup de grâce.
- 07/11/2025 à 10:49Encore onze % qui lui font confiance *!! mais qui son- ils ?????
- 07/11/2025 à 10:34Je pense que la plus grosse erreur a été sa deuxième réélection, c'est vrai qu'il a été très maladroit que ce soit en interne comme à l'international, tout cela finira par aboutir à son départ et probablement 2026, de voir en ce moment tous ces chiffonniers de la politique est très perturbant pour les français et inacceptable
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