Les médecins lui disaient qu’elle était simplement stressée…mais quelques mois plus tard, elle a vu la mort arriver
Jenn Wiles, infirmière de 24 ans, a eu une première crise de panique en 2017. Les médecins lui ont annoncé qu’elle souffrait d’anxiété en lui prescrivant des antidépresseurs. Quelques mois plus tard, on lui annonce une encéphalite, une infection très grave au niveau du cerveau.
Elle pensait souffrir d’anxiété…
En mai 2017, alors qu’elle était étudiante à l’Université de Salfort dans le Grand Manchester, Jenn Wiles a eu sa première crise de panique lors d’un concert avec ses amis. La jeune femme de 24 ans ne s’est pas vraiment inquiétée : « Je me suis dit que ce n’était rien, probablement dû au fait d’avoir bu de l’alcool« .
Au cours des mois suivants, les crises de panique de Jenn ont commencé à s’intensifier jusqu’à une fois par semaine. C’est ainsi que l’étudiante a décidé de consulter pour s’assurer que tout allait bien. Les médecins lui ont diagnostiqué un simple état d’anxiété probablement lié à ses études. Mais quelques mois plus tard, son état s’est rapidement détérioré.
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On lui diagnostique une infection mortelle au cerveau
Et puis un jour, tout bascule. Pendant son travail de serveuse dans un pub, Jenn commence à se sentir mal et a du mal à se tenir debout. La seule chose dont elle se souvient après ça est son réveil dans un hôpital… un mois plus tard. La jeune apprend alors qu’elle vient de sortir du coma à cause d’une encéphalite, une inflammation potentiellement mortelle du cerveau.
Jenn était incapable de marcher ou même de parler. Mais avec le travail des spécialistes, elle a pu retrouver une vie normale aux côtés de son copain. Néanmoins, l’infirmière miraculée a expliqué que cette inflammation lui avait causé des cicatrices émotionnelles difficilement réparables…
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