Un ancien agent de la CIA vous explique comment gagner la confiance de votre interlocuteur !
Lorsqu’on fait de nouvelles rencontres, on apprécie de connaître les petits secrets de notre interlocuteur. Mais lorsque ces derniers sont méfiants, il est plus compliqué d’avoir leur confiance. Andrew Bustamante, un ancien agent de la CIA, a expliqué au média LadBible comment gagner la confiance de son interlocuteur et connaître ses secrets.
>> À lire aussi : #StopAsianHate : un hashtag pour dénoncer le racisme anti-asiatique, encore considéré comme ordinaire !
Un ancien agent de la CIA dévoile comment gagner la confiance de son interlocuteur !
Pendant des années, Andrew Bustamante a travaillé pour la CIA. Dans le cadre de son métier, l’homme devait gagner la confiance de ses interlocuteurs afin d’apprendre tous leurs secrets. Une tâche compliquée quand on ne sait pas s’y prendre.
Alors qu’il a quitté son poste, l’ancien agent de la CIA dévoile une technique pour acquérir la confiance de son interlocuteur dans une interview pour LadBible. Ce dernier prend simplement l’exemple d’une conversation avec une personne à qui on veut plaire.
Alors si vous voulez mettre en confiance votre prochain rencard, il va falloir lire attentivement les conseils de cet homme.
>> À lire aussi : Un papa se fait tatouer pendant 30 heures la même tache de naissance de son fils pour lui redonner confiance
Trois phases essentielles pour atteindre la confiance de l’interlocuteur
L’ancien agent de la CIA explique qu’il y a trois phases pour atteindre la confiance de notre interlocuteur. Il prend l’exemple d’un rencard. La phase 1 consiste à parler de sujets abstraits, très généraux, qui amèneront doucement votre interlocuteur à parler de sa propre expérience et de sujets plus personnels.
Lorsque votre interlocuteur commence à parler de sujets plus personnels, il faut entrer un peu plus profondément dans le sujet. C’est la phase 2. Si cette personne vous dévoile qu’elle travaille dans un restaurant, il faudra poser les bonnes questions pour avoir plus d’informations, sans brusquer la personne.
Si vous voulez plus d’informations sur les conditions de travail de votre interlocuteur travaillant dans un restaurant, vous pouvez évoquer les clients insolents, par exemple. Cette dernière pensera obligatoirement à une expérience qu’elle a vécue.
C’est ici que la phase 3 débute. Selon les mots utilisés par l’interlocuteur, vous pouvez évoquer un autre sujet. Si cette personne vous dit : « ma religion me dicte de pardonner à toute personne » , vous avez déjà un élément sur sa religion. À vous de creuser un peu sur ce sujet.
« La psyché humaine, quel que soit votre pays d’origine, quelle que soit votre culture, fonctionne ainsi : si vous ouvrez une porte de conversation et si quelqu’un vous pose une question complémentaire, le cerveau humain veut répondre à cette question » explique d’ailleurs Andrew Bustamante.
>> À lire aussi : Victime d’une erreur médicale, elle ne peut plus fermer les yeux et la bouche, mais elle a appris à avoir confiance en elle