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Avec sa chanson pour enfants sur « les parties intimes » que personne ne doit toucher , cette prof fait le buzz

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Toutes les 3 minutes en France, un enfant est victime de harcèlement ou d’agression sexuels. Des chiffres alarmants, qui n’ont malheureusement aucune frontière. Sur TikTok, une professeure fait actuellement le buzz avec une chanson qu’elle apprend aux enfants. La chanson évoque « les parties intimes » que personne ne doit toucher.

Sa chanson sur les « parties intimes » que personne ne doit toucher fait le buzz

Si les enfants doivent être sensibilisés au harcèlement sexuel, trouver les bons moments n’est pas toujours évident. Dans un cercle familial, à l’école ou au détour d’une rue, ils sont des victimes idéales pour les prédateurs face à leur fragilité. Alors, dès l’école primaire, une professeure a décidé de sensibiliser ses élèves grâce à une chanson.

Gelda Waterboer est enseignante dans une école primaire en Namibie. Et pour sensibiliser les enfants, elle leur chante une chanson. La vidéo, publiée sur TikTok, fait un véritable buzz. Dans cette chanson, elle explique à ses élèves que les autres n’ont pas le droit de toucher « les parties intimes ».

« Ce sont mes parties intimes, parties intimes, parties intimes. Ce sont mes parties intimes que personne ne devrait toucher, que personne ne devrait voir » chante-t-elle face aux enfants. De plus, Gelda Waterboer accompagne sa comptine d’une petite « danse » visant à montrer les parties intimes en question.

Doit-on sensibiliser les enfants dès l’école primaire ?

En chantant, l’enseignante montre notamment son torse, son entrejambe ou encore ses fesses. Une chanson simple, mais efficace. Sur TikTok, la vidéo a atteint les 92 millions de vues en une semaine. Le plus beau ? Les enfants chantent également la chanson.

« Et si tu touches à mes parties intimes, je le dirai à ma mère, je le dirai à mon père, je le dirai à mon professeur » poursuit la comptine. Dans les commentaires, de nombreux internautes ont applaudi l’initiative de l’enseignante. Pourtant, d’autres estiment que les enfants sont trop jeunes pour être sensibilisés face aux prédateurs.

Car oui, le débat fait encore beaucoup de bruit, notamment à l’approche de la rentrée scolaire. Pourtant, les enfants sont les premières proies des prédateurs. Des êtres qui n’ont encore aucune connaissance de l’intimité et de la sexualité, et qui sont vulnérables. Et vous, pensez-vous que l’enseignante a eu une bonne idée ?