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« C’était vraiment de l’ordre de la boucherie » : Marlène Schiappa révèle sa mésaventure avec le gynéco de Brigitte Macron

Publié par Celine Spectra le 25 Août 2022 à 11:30
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Le 22 juin dernier, Marlène Schiappa sortait son dixième ouvrage nommé « C’est une bonne situation ça ministre ? ». Ce livre étant un bilan de ses différents mandats au cours du premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Mais aussi l’occasion d’apprendre quelques révélations étonnantes, comme notamment sa mésaventure avec le supposé gynécologue de Brigitte Macron.

« J’ai le bras long ! »

Dans son livre, Marlène Schiappa a donc accepté de révéler une scène qu’elle a vécue avec le supposé gynécologue de Brigitte Macron en 2017. À l’époque, la jeune femme était alors secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les hommes et les femmes.

Elle indique ainsi qu’alors qu’elle était au Parlement et qu’elle a souhaité évoquer les violences obstétricales inacceptables vécues par tant de femmes, il s’avère que la profession lui est tombée dessus publiquement, appelant à sa démission.

Il faut dire que face aux députés, la secrétaire d’état n’avait pas hésité à faire part de ses opinions en ce qui concerne le taux d’épisiotomies en France. 75 % ! Un chiffre qui, selon la jeune femme, était indicateur de maltraitance.

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Mais c’est particulièrement un appel reçu ensuite qui a choqué Marlène Schiappa :

« Je suis le gynécologue de Brigitte Macron, je ne vous laisserai pas faire ! ».

« C’était vraiment de l’ordre de la boucherie » : Marlène Schiappa révèle sa mésaventure avec le gynéco de Brigitte Macron

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« C’était de la pure boucherie »

Pourtant, Marlène Schiappa est sûre de ce qu’elle indique. L’ayant elle-même vécue ! En effet, comme elle le confiait en 2019 dans le documentaire « Tu enfanteras dans la douleur ».

« J’ai eu un déclenchement et on ne m’avait pas prévenue qu’on allait me déclencher. Ensuite, on m’a oubliée dans une pièce seule pendant plusieurs heures… La tête était en train de sortir… »

Elle précise, par ailleurs, qu’à ce moment-là, l’ascenseur était occupé. Elle avait donc dû descendre à pied plusieurs étages. Pire encore, toujours selon ses dires, l’anesthésiste n’aurait pas voulu lui faire de péridurale, jugeant qu’elle se plaignait beaucoup trop des douleurs… Un souvenir qui révèle de l’ordre de la boucherie pour la Ministre.