Emmanuel Macron veut « gagner la guerre » : Le président présente ses vœux à l’armée
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Comme au début de chaque année, Emmanuel Macron se rend ce vendredi 20 janvier sur la base militaire de Mont-de-Marsan dans les Landes, pour faire son traditionnel discours des armées. Sur cette base aérienne, la déclaration du président sera attentivement écoutée. Budget, nouveaux textes, Guerre en Ukraine, le Chef de l’État doit aborder de nombreux thèmes au cours de cette allocution.
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La France face au conflit ukrainien
La guerre qui fait rage à l’est de l’Europe a mis en évidence certains manques dans notre défense militaire. Les actions violentes de Vladimir Poutine ont incité Emmanuel Macron à prendre des décisions plus efficaces en cas de diffusion du conflit. Pour cela, c’est la Loi de programmation militaire 2024-2030 qui est au cœur du discours d’aujourd’hui.
« On doit tous mener une introspection à la lumière de l’Ukraine (…) l’ascendant sur le champ de bataille, les équipements, la capacité à commander, la logistique et les munitions, les communications sécurisées… »
De plus, il semblerait que les récentes actualités sur l’arme Poséidon du Kremlin aient effrayé notre ministère des Armées. En effet, le mot d’ordre du président est de rattraper notre retard sur tout ce qui concerne les drones et les armes téléopérées.
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Mobiliser la nation
Dans les objectifs du président, nous pourrons également retrouver la question des réservistes. Toujours à travers le prisme du conflit entre Zelensky et Poutine, le but serait d’augmenter notre défense. La jeunesse devrait par conséquent être concernée par les futures déclarations d’Emmanuel Macron, puisque le Service National Universel sera, lui aussi, à l’ordre du jour.
L’État se concentre tout autant sur la cyberdéfense, puisque de plus en plus de cybercriminels menacent les pays du monde entier. Il faudra donc dans les années à venir se munir d’une « cyberdéfense de premier rang ».
Toutes ces décisions sont dans un seul et unique objectif, ne pas attendre d’arriver au conflit pour agir. Le président serait donc plutôt dans l’idée de « défendre nos intérêts, avant d’aller dans la confrontation ».
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