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« Je me battrai » : Elisabeth Borne n’exclut pas de se présenter à la présidentielle de 2027

Publié par Elodie GD le 26 Mai 2025 à 14:02

Si deux années nous séparent de la prochaine élection présidentielle, les Français pronostiquent déjà sur celui ou celle qui succédera à Emmanuel Macron.

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Quels candidats pour l’élection 2027 ?

Qui sera l’héritier de la macronie ? La question ne cesse de revenir à l’heure où la liste des candidats à la prochaine élection se dessine. Si l’ex-Premier ministre Edouard Philippe a d’ores et déjà annoncé faire campagne pour 2027, d’autres candidatures comme celles d’Aurore Bergé, Bruno Retailleau ou Gérald Darmanin ne sont encore que des hypothèses.

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Du côté du Rassemblement national, reste à décider qui de Marine Le Pen ou Jordan Bardella se présentera pour briguer la présidence. Autrement, le parti fondé par Jean-Marie Le Pen prendra, comme à son habitude, part à la course à la présidentielle.

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Quid de la macronie ? Si le nom d’Aurore Bergé circule parmi les politiques et dans la presse, Elisabeth Borne semble elle aussi bien partie pour défendre Renaissance bec et ongles. Invitée ce 25 mai sur le plateau de BFMTV, la ministre de l’Éducation nationale a renouvelé son soutien au parti présidentiel et soutenu qu’elle « [se] battrait » pour qu’il continue d’exister.

Elisabeth Borne candidate aux présidentiielles ?

« Trouver des compromis avec la droite républicaine et la gauche modérée »

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« Je vous assure qu’elle existe et je me battrai pour qu’elle continue d’exister et qu’elle soit en mesure de l’emporter en 2027 », a-t-elle martelé. Une conviction encore plus farouche après les propos de la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas. Invitée le 20 mai sur CNews-Europe 1, celle-ci a affirmé que « le macronisme trouvera probablement une fin dans les mois qui viennent avec la fin du quinquennat ».

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Des propos qui n’ont pas plu à l’ancienne Première ministre, qui exige des excuses de la part de la porte-parole. Convaincue de l’utilité de la macronie pour dépasser le clivage — de plus en plus marqué – entre la gauche et la droite, elle poursuit : « On est nombreux à vouloir garder cet esprit ». Face aux journalistes, elle réaffirme la volonté de Renaissance de « représenter une force centrale qui peut trouver des compromis avec la droite républicaine, avec la gauche modérée« .

Quand on la questionne sur le successeur d’Emmanuel Macron, la ministre fait preuve de davantage de retenue : il est trop tôt pour se prononcer. « Ce dont je suis certaine, c’est qu’il faut d’abord travailler sur un projet solide et sérieux, avec toutes les composantes du bloc central », explique-t-elle. Un bloc central dans lequel elle n’inclut pas les Républicains, parti de Bruno Retailleau, actuel ministre de l’Intérieur.

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