Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Santé

Pilosité faciale, perte de cheveux, fertilité… Quel est ce nouveau mal qui touche de nombreuses femmes ?

Publié par Celine Spectra le 02 Sep 2022 à 13:55
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Ce jeudi 1er septembre, c’était la journée mondiale de sensibilisation au syndrome des ovaires polykystiques. Mais connaissez-vous ce mal qui touche de nombreuses femmes ?

La suite après cette publicité

Un mal encore bien méconnu de nos jours

Vos cycles mensuels sont irréguliers ? Vous souffrez peut-être de SOPK ! Ce trouble se manifeste généralement par des cycles menstruels irréguliers, mais aussi un taux élevé d’androgènes dans l’organisme, ainsi que de petits kystes qui se forment au niveau des ovaires.

La suite après cette vidéo

Il est également en mesure de provoquer des symptômes tels qu’une pilosité abondante sur le visage et le corps, des changements d’humeur, et aussi de l’acné. Les femmes peuvent également avoir des difficultés à tomber enceinte.

La suite après cette publicité

Certaines personnes concernées par le SOPK ont de petits kystes inoffensifs sur les ovaires, mais il faut savoir que ce n’est pas toujours le cas.  Certaines fois, les kystes du SOPK se développent, et finissent par se rompre en provoquant de vives douleurs.

Pilosité faciale, perte de cheveux... Quel est ce nouveau mal qui touche de nombreuses femmes

Pixabay

Aucun traitement spécifique pour soigner cette maladie

Pour l’heure, les causes exactes de cette maladie ne sont pas clairement établies. Mais selon les scientifiques, cela pourrait être à la fois d’origine ovarienne et centrale. En clair, cela toucherait également au niveau du cerveau.

La suite après cette publicité

Parmi les causes, ces derniers se penchent sur des raisons multifactorielles :

  • génétiques,
  • liées à la modification des gènes en raison de l’environnement
  • ou bien alors à cause des perturbateurs endocriniens.

Et dans les faits, une vingtaine de gènes prédisposant à la maladie ont été identifiés.

La suite après cette publicité

D’ailleurs, il faut savoir que les prédispositions familiales exposent un risque surélevé de 30% de développer cette maladie. Malheureusement, à l’heure de l’écriture de ces lignes, il n’existe aucun traitement spécifique pour la soigner. Quelques médicaments permettent seulement d’atténuer les symptômes. Mais la femme a l’obligation de les prendre jusqu’à la survenue de la ménopause.

Source : La Dépêche