Syndrome du téton triste : ce mal qui refroidit directement les ébats les plus torrides
Saviez-vous qu’à travers le monde, certaines personnes ressentent une immense tristesse lorsqu’on leur touche les tétons ? Découvrez-en plus sur ce mal qui touche de plus nombreuses femmes que l’on imagine.
Syndrome du téton triste : quel est exactement cet étrange phénomène ?
Certaines personnes affirment ressentir un mélange d’émotions désagréables et incontrôlables lorsqu’on leur touche les tétons. Sur TikTok, de nombreux témoignages d’hommes et de femmes assurent ressentir une sensation étrange de mélancolie, de tristesse. Mais aussi de l’irritabilité, voire de la jalousie, lorsque leur conjoint manipule leurs mamelons. De quoi refroidir instantanément les ébats les plus torrides.
Fort heureusement, ces sensations ne durent que quelques secondes, voire minutes, et disparaissent si le contact est interrompu.
Un mal peu connu et encore moins reconnu
Pour l’heure, les scientifiques n’ont pas encore trouvé d’explication permettant d’étayer ce phénomène. Surtout que très souvent, peu de personnes ressentant ces symptômes n’osent pas en parler à leur médecin traitant.
Néanmoins, la principale hypothèse invoquée serait le réflexe d’éjection dysphorique. Ce dernier toucherait les femmes qui allaitent leur bébé et se traduirait par une montée d’émotions négatives à cause d’une baisse de la dopamine. D’ailleurs, le psychologue Barry Komisaruk a eu l’occasion de constater que la stimulation des mamelons allumait une zone du cerveau où sont reçues les sensations génitales. Mais de nombreuses investigations doivent encore être menées à ce sujet. Car pour certains professionnels, le même processus pourrait s’appliquer en dehors de l’allaitement.
Quoi qu’il en soit, si vous ressentez ce symptôme n’ayez pas honte ! Et surtout, n’hésitez jamais à signaler toute sensation désagréable à vos partenaires. Enfin, sachez que même si pour l’heure aucun traitement n’est approprié, consulter votre médecin vous permettra de vous rassurer si cette sensation persiste. Et encore plus si elle s’accentue.