Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

« Elle a été touchée et elle devait toucher » : Un enfant de CP accusé de violences sexuelles sur ses camarades de classe

Publié par Romane TARDY le 13 Avr 2023 à 9:03
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Les enfants peuvent, eux aussi, faire des choses horribles. L’école est pour certain un endroit dangereux. C’est le cas pour les camarades de cet enfant de 7 ans qui est accusé de violences sexuelles.

La suite après cette publicité

A lire aussi : « lls ont commencé à me taper » : Un enfant handicapé de 12 ans, victime de violences à l’école, raconte son calvaire

Trois élèves agressés à l’école par un camarade

La suite après cette vidéo

Comme si les violences sexuelles n’étaient pas déjà assez abominables, alors les subir dès la primaire… À Issy-les-Moulineaux, c’est malheureusement ce qui s’est produit.

La suite après cette publicité

Trois élèves âgés de six ans ont été victimes d’agressions sexuelles par un de leurs camarades. Les faits se sont déroulés dans les toilettes ou dans la cour de récréation, le mercredi ou après l’étude.

Une enfant victime a raconté à sa mère avoir été « touchée et devoir toucher avec la menace qu’elle serait jetée du haut de la grille si elle ne le faisait pas » .

enfant
La suite après cette publicité

A lire aussi : Infanticide : Une mère poignarde son bébé de trois mois

Les enfants sont tous encore dans la même école

Malgré un signalement en novembre dernier, les plaintes des familles de victimes pour agression sexuelle, voire viol sur mineur, ont été classées sans suite, jugeant que l’enfant de sept ans accusé n’a pas « le discernement nécessaire pour engager sa responsabilité pénale » .

La suite après cette publicité

Les enfants victimes ont alors été changés de classe, mais l’élève de CP est toujours dans la même école. Toutefois, pour les parents, c’est insuffisant. Leurs enfants croisent toujours leur jeune agresseur dans la cour ou à la cantine et cela presque tous les jours.

Il ferait tout de même l’objet d’une « surveillance renforcée » et d’un « soutien médical et psychologique » . Le rectorat de Versailles s’est défendu ainsi : « Aucun incident n’a eu lieu depuis septembre. Le jeune impliqué est pris en charge depuis la rentrée scolaire, à l’école et à l’extérieur » .

A lire aussi : Excréments, cadavres : Des enfants retrouvés dans une maison de l’horreur

La suite après cette publicité