Il rate son train à Paris et prend un Uber pour rejoindre Marseille : découvrez combien il va payer
Parti de Marseille pour souffler un peu à Paris, un employé argentin d’un bateau de croisière s’est retrouvé dans une situation franchement improbable : pour ne pas perdre son job, Laurauto, un argentin a dû réserver un Uber depuis la capitale… jusqu’au Grand Port maritime de Marseille.
Un trajet record de 800 km facturé plus de 1 000 €, ce qui en fait la course la plus chère de l’année 2025.
Un trajet record entre Paris et Marseille en Uber !
Ce jeudi 10 décembre 2025, les chiffres dévoilés par Uber ont mis en lumière l’histoire un peu folle de Laurauto, un Argentin en escale à Marseille qui, séduit par une escapade éclair à Paris, a tout simplement raté le dernier train retour.
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Comme il l’a confié à la plateforme : « J’ai loupé mon train, c’était le dernier de la journée et je devais absolument être à Marseille pour rejoindre le bateau lequel je travaille et qui partait à l’aube ».
Coincé dans la capitale et risquant de perdre son poste, il a donc dégainé la seule option encore possible : réserver un VTC pour parcourir près de 800 km, du 12ᵉ arrondissement de Paris jusqu’au Grand Port maritime de Marseille.
Résultat : une addition salée de 1.015,74 €, confirmée par nos confrères d’Actu.fr. Une somme délirante, mais qui lui a permis d’arriver juste à temps pour l’embarquement.
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Un voyage dont il se souviendra toute sa vie
Durant plus de sept heures de route, le chauffeur n’a pas laissé tomber son passager. Laurauto salue d’ailleurs ce long moment partagé : « Mehdi, le chauffeur, a été vraiment très sympa et m’a tenu compagnie pendant plus de sept heures pour que je puisse arriver à l’heure au travail ».
Si ce Paris–Marseille établit le record 2025 de la course la plus chère en France, Uber a également noté des extrêmes inverses, comme celle d’un Parisien en déplacement à Nantes ayant commandé un VTC pour seulement 490 mètres, un trajet motivé, d’après la plateforme par une pluie trop intense à affronter.
Une année de statistiques insolites, qui rappelle qu’entre oublis de train et météo capricieuse, certains usagers sont prêts à tout pour arriver à l’heure… ou rester au sec.