Françoise Hardy malade et prête pour l’euthanasie ? Les tristes révélations de son fils Thomas Dutronc
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Françoise Hardy est au plus mal. Depuis plusieurs années maintenant, elle se bat sans relâche contre un cancer du larynx, l’empêchant de faire plusieurs choses comme se produire sur scène ou encore assister à la tournée de son ancien mari et son garçon, Jacques et Thomas Dutronc. À l’occasion de cette dernière, son fils a accordé une interview à Purecharts et a fait de tristes confidences sur l’état de santé de sa mère.
© Capture d’écran France 2
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Françoise Hardy se bat contre le cancer
Depuis plusieurs années maintenant, Françoise Hardy livre un combat sans relâche contre le cancer du larynx. Malheureusement, cela n’est pas de tout repos pour elle et cela la fatigue plus que jamais. En plus de devoir combattre la maladie en elle-même, cette dernière ne lui permet pas non plus d’assouvir sa passion pour la musique. En effet, elle ne peut plus du tout chanter et étant épuisée, elle n’a pas pu se rendre sur la tournée de son ancien mari, Jacques Dutronc et son fils, Thomas Dutronc, qui parcourent actuellement la France entière avec Dutronc & Dutronc.
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Prête pour l’euthanasie ?
À l’occasion de la tournée qui débute, Thomas Dutronc a accordé une interview à Purecharts ce vendredi 18 novembre 2022. Dans celle-ci, il a accepté de se confier sur l’état de santé de sa mère et le moins que l’on puisse dire, c’est que les nouvelles ne sont pas spécialement bonnes et rassurantes. En effet, Françoise Hardy serait prête à se faire euthanasier.
« Elle n’a même pas pu venir nous écouter, même quand on était en répet’ avec personne dans la salle (…) Elle a préféré ne pas venir, elle se sent trop faible, trop fragile pour bouger comme ça. Là, elle vient de ressortir marcher un peu. C’est pas la grosse forme. Je comprendrais très bien son choix, celui de l’euthanasie, je le respecterais. Sa mère, ma grand-mère donc, a été euthanasiée mais elle avait la maladie de Charcot. C’était assez fou parce que c’était en 1990 et ça ne se faisait pas non plus… »
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